| Sujet: Cours, vas y cours pour m'amuser ! | Violaine Dim 4 Avr - 8:40 | |
| Le silence se faisait pesant dans les ruelles de San Fransisco. Ce silence me parlait et j'aimais cela. Mon but cette nuit ? Retrouver cette petite sorcière. Cette garce qui intéresse tellement Damon et Jared m'obsédait. Elle hantait l'esprit de ce démon et je devais découvrir pourquoi ? Après tout, si je veux pouvoir la faire souffrir et la tuer, il faut que je tapes fort, très fort. La mort simple n'est vraiment pas amusante surtout pour quelqu'un comme moi. Je préfère attendre et frapper au bon moment. Il est vrai que c'est quand mes victimes sont le plus affaiblis. Elles me supplient de ne pas les tuer et moi je leur rigole au nez juste avant de le faire. C'était fou ce que ce genre de situation me plaisait mais avec cette sorcière je préférais y aller plus doucement. Je voulais qu'elle hurle à la mort avant de me supplier et pourquoi pas ensuite lui accorder le repos éternel. Mais avant il fallait que je comprenne pourquoi Damon la voulait.... Ou plutôt voulait la tuer. Ce n'était pas dans le genre du démon de s'acharner ainsi et c'est pourquoi moi, la chef des enfers ouest j'étais très intriguée. Je marchais tranquillement dans les rues de San Fransisco me faisant siffler parfois et bien même que ça m'énervé, je ne voulais pas perdre mon temps avec des gens aussi ingrat. Je leur donnais donc ce qu'ils voulaient à savoir, je relevais un peu plus ma jupe et je leur souriais effrontément. Mais ce jeu ne m'amusa qu'un certain temps maintenant je voulais simplement m'amuser à ma façon et c'est pourquoi je décidai qu'il était grand temps de frapper. Je me téléportais donc dans l'appartement de la demoiselle Douglas. Je regardais tout autour de moi. Que ça pouvait être laid. Elle n'avait vraiment aucun goût. Mais on n'était pas venu pour parler décoration alors je marchais lentement vers sa chambre. Je la voyais là dormir paisiblement et moi je jubilais. Je voulais absolument lui faire mal pas forcément la tuer mais juste lui faire assez de mal pour qu'elle me supplie de l'achever. Je la regardais dormir puis je m'approcha de son oreille et lui susurra :
«Dors, dors mon tout petit... Ton repos ne sera bientôt qu'un lointain souvenir... »
Je me mis à rire doucement avant de nous transporter dans le labyrinthe de Pan. Je la frappa pour la réveiller comme il se doit et je lui dit :
«Si tu arrives à sortir vivante de là, je consentirais peut être à te laisser la vie sauve... Mais fait bien attention à toi car je serais à tes trousses... Je te laisse trente secondes d'avance..»
Son regard apeurait me donner encore plus envie de jouer. Alors je me mis à compter lentement jusqu'à trente et je riais déjà en la voyant détaler comme un lapin qui se sait prit au piège. |
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