Cela faisait déjà plus d'une semaine que la canicule s'était abattue sur la grande ville de San Francisco. La population de la ville à plusieurs moyens d'y remédier. D'un côté, les gens plutôt bedonnants qui s'empiffrent de glaces achetées chez le marchant de glace qui produit toujours sa musique stridente et angoissante. Et de l'autre, vous avez les plus sportifs qui préfèrent entretenir leurs corps dans les grandes piscines municipales proposées par la métropole. Au milieux d'eux ? Les jeunes tourtereaux qui luttent contre la chaleur en essayant de ne pas y penser. Qui dit tourteaux, dit amoureux. C'est allongés sur le canapé que Scott Huston avait sa petite-amie, Lucy Vandervall, dans ses longs bras musclés. Seul le bruit du vieux ventilateur (qui, au passage, ramenait plus la poussière du dessous des meubles que de produire du vent) pouvait couvrir les bruitages que produisaient les deux bouches, collés l'une sur l'autre, du jeune couple. Ils s'échangèrent de longs, tendres et passionnés baisés. Les deux adolescent étaient ensemble depuis plusieurs semaines mais n'avait encore jamais couché ensemble. Le garçon étant un.. garçon, voulut comme tout les garçons de son âge, profiter du corps de sa bonne-amie. Il glissa, donc, délicatement ses mains sur le fessiers de Lucy. Celle-ci refusa poliment en esquissant un léger sourire.
Malgré qu'elle repoussa ses avances, Scott comprît la réaction de son amie. Peut-être pensait-elle qu'ils allaient trop vite ? En tout cas, une chose est sûr, il ne se doutait pas une seconde sur sa virginité et encore moins sur le faite qu'elle soit née il y a seulement quelques mois.
Au moment de reposer ses lèvres si généreuses sur celle de son amante, un bruit sourd et assourdissant se fît entendre depuis l'appartement. Le couple, surpris, sursauta suite à cette nuisance sonore. Cela venait de l'extérieur, Lucy se leva, malgré le faite qu'elle voulu rester dans les bras de son Roméo, et regarda attentivement ce qui se passait dans les rues d'Excelsion. Il est vrai qu'Excelsion était loin d'être un quartier sécurisé, et ce bruit n'était surement pas le bruit d'une simple voiture qui dérapait ou qui renversait une vieille dame. Si il y a eu accident, c'était volontaire !

Lucy : - On dirait que ce n'est pas ici que ça se passe.

Scott lui répondit par un simple sourire. Même si quelque chose était arrivé dans la rue qui donnait sur l'immeuble, il s'en fichait. Lui était bien et en parfaite compagnie. Elle revînt rapidement et s'assit sur l'un des deux accoudoirs du canapé si usé du garçon. Celui-ci se rappelle encore du jour où il l'a trouvé dans la rue en sortant d'un Starbuck Coffee. Son loft était petit et entièrement composé de meubles d'occasion. Son argent, il le dépensait pour son loyer, l'essence de sa moto et ses fringues. Sans oublier pour le cadeau qu'il a acheté pour Lucy, mais ça, elle n'était pas encore au courant.


Lucy : - C'est très fréquent dernièrement non ?

Son ami lui répondit simplement : C'est vrai. Toujours intriguée par ce bruit, le regard de la jeune fille était tourné vers la fenêtre. Le garçon, lui, n'avait qu'une seule envie. Sentir son corps nu contre celui de Lucy, tout aussi nue. Non, Scott n'était pas ce genre de garçon qui ne pensait qu'au sexe et qui couchait pour tirer un coup. Lui, était plus tendre, plus doux. Si il s'offrait à Lucy, c'était pour lui prouver son amour, car il veux la combler et lui faire tout le bien possible. Elle comprît bien que quelque chose tourmentait le garçon, elle lui demanda d'une voix douce et calme mais qui cache tout de même une certaine malice.

Lucy : - Qu'est ce qu'il y a ?

Son amant enchaîna et ne cacha pas la vérité. Pourquoi lui mentir ? De toute manière, elle accepterait surement pensait il.

Scott : - Bien, pour être honnête avec toi, ça fait plusieurs semaine que nous sommes ensemble. Tu vois. Et je pensais qu'on pourrait éventuellement, enfin si tu veux, qu'on pourrait essayer de passer au "cap supérieur".

Lucy changeant totalement son personnage, j'envoie ce sujet à la corbeille. Si vous aviez l'intention de le continuer malgré tout, dites le moi et je vous le remettrais.