Marc est né en France dans les années 1940. Très jeune, il perd son père, devenu militaire pour défendre son pays. Le garçonnet se retrouve donc seul avec, pour dernière famille, sa mère. Cette dernière ne se remettra jamais de la perte de son mari et se laissera mourir sans penser une seconde à son fils. Marc grandira donc avec pour compagnie, des bonnes sœurs dont le visage était tellement abimer qu'on devinait facilement leur ultime péché. L'enfant, détestant vivre au couvant, fit les 400 coups avec plusieurs de ses amis ce qui avait le don de faire rager celles qui devaient les surveiller. En grandissant, il pu enfin quitter ce lieu où il avait tant souffert. Mais où aller ? Serte il avait un peu d'argent cela dit, rien de bien apportant. Avec, il pouvait aller en Afrique mais pas plus loin que la Guinée. Il prit finalement ça décision en pensant à l'éloignement. Fuir cette misérable vie était tout ce qui lui importait. En 1962, Marc posait le peu d'affaire qu'il possédait dans un petit village africain. Jamais il n'avait vu un taux de pauvreté aussi élevé. Pris de pitié pour eux, le jeune homme qui n'avait jamais prier, fit une prière en leur faveur. Il resta là bas et devint volontaire avec quelques autres personnes. Il vivait pour la première fois quelque chose de vraiment poignant. Après la mort de ses parents, une tristesse c'était incrustée en lui et petit à petit, la blessure c'était refermée. Avec le temps, on fait son deuil. Pourtant, voir tous ces gens à l'agonie servit de piqure de rappel et ré ouvre la plaie presque cicatrisée. Les six bénévoles attendaient une cargaison de nourriture. Ne la voyant pas venir, Marc décida d'aller voir dans le village le plus proche ce qu'il en était pour eux. Sur le chemin, une bombe explosera. L'homme à quelques centimètre mourra. C'est suite à ça que les fondateurs décideront de faire de lui un être de lumière. Aider comme il l'a fait ces personnes au dépend de sa propre vie valait bien cet honneur. Lui qui voulait voyager, ce retrouvera tout droit à San Fransisco. Pourquoi ? Seules ces supérieurs le savent.