Il commençait a ce faire tard. Certains magasins commençaient à fermer boutique et d'autres suivaient le même chemin. Les allées du grand centre commercial de San Francisco étaient presque désertes, quelque client en retard, des vigiles et des vendeurs ou propriétaire qui allait rentrer chez eux. Joseph avait vadrouillé dans le centre commercial tout l'après midi a la recherche de livre spécifique sur les mythes et les légende de divers peuple du monde. Il aimait bien ce type de lecture, il devait posséder une des plus grandes collections de ce genre d'ouvrage. Il en avait tellement que la plupart des livres qu'il possédait ce trouvait dans une simple en carton chez lui. Chaque pièce de sa maison contenait un nombre impressionnant de bouquin, certain datait même de mathusalem alors que d'autre simplement d'hier. A vrai dire il en avait tellement qu'il ne pouvait jurée si il en possédait en plusieurs exemplaire, mais bon, comme dit le dicton, "Quand on aime, on ne compte pas." C'était exactement le cas de Joseph.

Marchand d'un pas lent et décontracté, tout du moins en apparence, le dragon qui se cachait derrière cette forme humaine se dirigeait inexorablement vert la sortie du centre commercial pour pouvoir rentré chez lui et dégusté un bon gigot d'agneau crue acheté le matin même dans une petit boucherie ou le dragon avait ses habitude et ou on ne lui posait pas de question sur la quantité industriel de viande crue qu'il achetait. A y repensé, tout sont argent passait dans ses livres et sa nourriture, heureusement pour lui qu'il n'était pas un adepte des loisirs futiles comme touts les humains qui peuplaient cette terre. Et a rêvassé de tout cela ce qui devait arriver arriva, ne faisant pas attention ou il marchait et surtout ayant la tête ailleurs il heurtant quelque chose ou quelque qu'un. La sensation du choc le fit immédiatement revenir à la réalité, était il attaquer ? Ou était-il juste rentré en collision avec une personne innocente. Il regarda devant lui et vit une jeune femme blonde devant lui. Au premier regard elle n'avait pas l'aire d'avoir des intentions belliqueuses avec Essovius, et ce dernier ne serait dire si le choc lui avait causé du tord de quelque façon, a vrai dire il était plus concentré sur un éventuelle geste d'hostilité de la jeune femme.

Passé des millénaires à être traqué par des personnes voulant vous arracher le cœur pour leur propre profit et vous deviendrez paranoïaque, ou suspicieux dans le meilleur des cas. Essovius devait être entre les deux, toujours sur ses gardes, à épier discrètement tout ce qu'il l'entoure et a craindre une éventuelle attaque sur sa personne, enfin lorsqu'il n'avait pas la tête ailleurs.

Restant droit, debout et inébranlable comme un roc Essovius ne savait pas vraiment quoi faire. les relations, même futile comme demandé a une personne comme elle vas n'était pas du tout dans ses habitude, néants moins en remarque que de plus en plus de gens ralentissait en passant a coté deux pour voir ce qui c'était passé il prit sur lui de commencer le dialogue avec la jeune femme affin d'évité que trop de gens vouant joué les bon saint Maritain vienne participé et commencé un débat sur la politesses comme quoi la mère d'Essovius ne lui avait pas appris les bonnes manières ect ... Il avait déjà eu le droit a ce genre de discourt et cela avait d'un ennuis des plus assommants.

Joseph fit apparaitre sur son visage une fausse expression de confusion accompagné d'un léger sourire qui se voulait amicale mais sans plus et prit la parole.

Pardonné moi Mademoiselle, j'aurais du faire attention ou je marchais.

"Pardonnez-moi mademoiselle, je ne faisais pas attention où je marchais.
- Non je ne te pardonnes pas."

Après tout c'est bien normal. Mademoiselle ? Moi ? Mademoiselle non mais vraiment ! Non pas que je revendiques mais quand même, une amie de l'ancien temps, une amie qui, après mainte et mainte rencontres, après tant de croisées à travers les siècles, je n'avais même pas le droit à mon nom. Ni Angela, ni Virginia, ni encore le nom d'une des époques où il m'avait connue en tant que Blanche. Mademoiselle hein ! Moi la fine, la jolie, la souriante, l'énervante et I N O U B L I A B L E blonde. Moi qui savait de lui autant qu'il connaissait de moi, même plus.

Et j'allais lui pardonner.

Faisant paraître un air fâché, dans le genre petit miaou en colère, je remis ma queue de cheval en place, m'accrochai à mon sac et le tirant par le bras je le forçait à me suivre. Une seule chose me permettait de dire qu'il m'avait reconnut : il avait confiance.
Et tandis que j'essaye de franchir la foule de gens. Je grommelai encore après lui.
Et après les gens aussi. Bon d'accords on était beaux, bon d'accords on était tout sauf ordinaire, bon d'accords j'avais encore sortie une énorme connerie. Mais pour la bonne cause mes bons gens, pour la bonne cause. Et puis j'étais franche, on ne pouvait décemment pas me reprocher une de mes caractéristiques.

A défaut de mordre je gueule. Et si lui il était un dragon, moi j'étais tout les animaux de la terre. Alors avoir peur de lui, qu'il soit plus grand que moi (même gigantesque), qu'il ait l'air d'un gentleman dangereux et qu'il soit quand même l'une des espèces les plus fortes de la terre. Ben non, moi j'avais pas peur. Une chose que j'aimais bien chez lui aussi : il était métamorphe dans le bon sens, l'avoir à cotés de moi me permettrai de ne jamais faire d’écart. Et si par malheur je touchai un chat, il ne me suffisait que d'un contact avec lui pour que je reste normale.
Une qualité.

"La mémoire fait vraiment défaut chez les personnes âgées. Mais moi j'ai plusieurs siècles, tu ne te souviens plus de ta chère amie Virgie ?"

C'était quand la dernière fois que l'on s'était vu. Peut être à la réception d'un Lord en 1918. Quoi que, je ne me souvenais plus vraiment si c'était là que j'avais put lui parler, en tout cas à cet instant il se souvenait de moi !

Alzheimer peut être...
Je crois qu'il avait compris qui j'étais

"Alors Essovius, ou plutôt Joseph pardon. Ça te reviens ?"

Joseph qui n'avait pas bouger d'un millimètre durant le choc avec la jeune femme la regardait, alors qu'elle se trouvait par terre, sa coiffure légèrement ébouriffée, et son regard ... qui le fixait droit dans les yeux auraient pus faire frissonner même la source du mal. Le dragon ne put cependant cacher sa surprise lorsque cette jeune demoiselle lui indiqua quelle ne lui pardonnais pas. Mais chose encore plus troublante pour cet être magique âgé de plus de 10 000 était le tutoiement qu'elle avait utilisé. Avait-il déjà croisé cette femme par le passé. La connaissait-il ? Sans doute pour la première solution, et totalement affirmatif pur la seconde. Rare sont les personnes à tutoyer des inconnues, même si ils se sont déjà croisé, et ce a plusieurs reprise. Essovius fixa donc la jeune femme avec plus d'attention cette fois. Elle était charmante, c'était indéniable, mais quelque chose le titillait, les yeux ... il avait déjà vues les même yeux quelque part. Les yeux sont le reflet de l'âme a ce qu'on dit, et c'était vrai ... Il en était persuadé maintenant, il connaissait cette femme, mais n'arrivait pas à mettre la main sur sont nom. Il réfléchit encore plus, passant au crible toute sont histoire, sa vie a vitesse accéléré et la "DING". Mais il n'eut le temps de rien dire, en moins temps qu'il n'en faut pour le dire la jeune blonde avait refait sa coiffure, ris son sac et empoigner Joseph pour le tiré comme une vulgaire marchandise. Il n'y avait plus de toute, il s'agissait bien de Virginia. Enfin, au dernière nouvelle, après tout cela remontait fort longtemps déjà et il n'était pas a exclure qu'elle est changer de nom.

Se frayant un chemin non sans grommelé tout en affichant sur son visage un aire fâche a travers les passants qui avaient commencé à s'accumuler autour de la zone ou c'était produit ce léger incident de circulation piétonnière. Joseph en profita pour se remémoré leur dernière rencontre. C'était en 1918, une semaine après la fin de ce que les hommes nomment première guerre mondial. Lui a l'époque occupait la profession de médecin. C'était a une réception organisé par un Lord pour fêté le retour de son fils qui était revenue saint et sauf de France. Joseph se souvient de sa démarche délicate, et ses trait raffiné et d'une coiffure d'un blond éclatant semblable a un champs de blé en plein soleil de midi. Ce n'était pas la première qu'il c'était croisé, et elle connaissait déjà a l'époque la véritable nature de ce jeune médecin Londonien. Il se souvient que pendant cette soirée elle c'était faite courtisé de nombreuse fois, et par presque tout les hommes présents. Il avait but quelque verre ensemble, avait discuté de tout et de rien pendant une grande partie de la nuit. Puis au moment ou la fête prit fin c'était séparé et depuis ne c'était plus jamais revue.

Lorsque Joseph reprit ses esprits et revient a la réalité des chosent, Virginia c'était arrêté dans un coin ou il n'y avait personnes. Elle le regardait droit dans les yeux et lui sortie.

"La mémoire fait vraiment défaut chez les personnes âgées. Mais moi j'ai plusieurs siècles, tu ne te souviens plus de ta chère amie Virgie ?"

Essovius entama alors un petit jeux avec cette dernière.

Plusieurs siècles ? héhé, elle est ou la caméra caché ? En tout cas vous êtes bien conserver.

Virginia la fusilla du regard. Et ce genre de regard Essovius le connaissait bien, en gros il voulait dire de manière familière, "arrête de faire le con ou je te bouf les intestins." Le dragon reprit alors un aire sérieux avant d'ajouté.

"La mémoire fait vraiment défaut chez les personnes âgées. Mais moi j'ai plusieurs siècles, tu ne te souviens plus de ta chère amie Virgie ?"

On verra comment sera ta mémoire lorsque tu auras 10 000 ans. Et oui je me souviens de toi Virginia. Enfin si c'est toujours ton nom.

Il sortie de sont emprise physique.

Toujours aussi gracieuse, charmante et haut combien désinvolte ! Il est difficile de ne pas t'oublier.