Il était environ 16h45 de l'après midi. A l'extérieure le soleil brillait de mille feu et jetais sur San Francisco une vague de chaleur caniculaire. Pas une petite brise pour rafraichir les quelques personne qui cherchait a tout pris la protection de l'ombre d'un veux chêne, d'un bâtiment ou de quelques autres objet ou construction de leur procuré ce qu’ils désiraient t'en. Et cette chaleur étouffante, assommante était pire a l'intérieur.

Dans l'amphithéâtre de l'université de San Francisco, la chaleur n'arrangeait rien a inattention des étudiants, et comme la climatisation était en panne, Joseph avait devant ses yeux une véritable hécatombe. Sa nature de dragon lui était d'un grand secours. Son espèce étant de sang froid il supportait beaucoup mieux la chaleur que les humains normaux. Il était d'ailleurs la seul personne que l'on peut qualifier de frais et disponible dans toute l'université, si on mais hors course les étudiant en médecine qui c'était sans doute réfugier dans leur salle de cours, les placards mortuaire réfrigérant ouvert en grand. Mais canicule ou aire glacière Joseph était ici pour faire cours, et ses étudiants pour apprendre. La transmission de connaissance était très importante pour le dragon, et sur se sujet il n'était aucunement laxiste, il était même un vrai despote. Sur al scène, ou ce trouvait un petit bureau, le professeur d'histoire marchait de droite a gauche, dans sa main une petite télécommande qui commandait a distance le projecteur plus loin dans la grande pièce et qui envoyait sur le mur plusieurs peintures ou autre gravure ayant pur thème les Sorcière de Salem. En début d'après midi ils avaient commencés à étudier ce passage de l'histoire des colons américains. Une histoire morbide digne de la sous intelligence des humains facilement influençable. En tout cas c'était ce que pensait Essovius, il d'ailleurs content de ce trouver en Pologne a cette époque et non a Salem.

Donc, c'est à Salem village. Aujourd'hui Danvers dans le Massachusetts que ce déroula donc le fameux procès des sorcières de Salem. Nous en avons discuté toute l'après midi. La fin des cours approches et je sais qu'une grande majorité, voir tous aimerais vite quitter cette salle pour prendre d'assaut tout ce qui pourrais vous apporté un peu de fraicheur dans ce monde ou le soleil brille si fort que certain d'entre vous sont déjà en train de dormir. Je vous prierais donc, pour ceux qui sont encore en état d'avoir les yeux ouverts de dire a vos camarade qui d'évité de ronflé de trop fort. Sans oublié qu'il devront me remettre avant ce week-end, soit deux jours une synthèse complète sur ce merveilleux cours qui on loupé.

Joseph regarda tout les étudiants dans cette pièce. Il avait une excellente mémoire, il savait qui devait lui rendre une synthèse sans même avoir a le noté quelque part. Il appuyas sur un bouton de sa télécommande et une illustration de la salle d'audience lors du procès de Salem apparue derrière lui.

Donc, si on reprend depuis le début voici les principales étapes qui mena au procès, et a sa fin.

-En premier lieu. Certain membre de la communauté de cette ville accusent certains concitoyens de les avoir envoûtées et d'être des sorciers ou des magiciens, alliés de Satan. Vous noterez qu'ils sont arrivés à cette conclusion grâce a un charment médecin qui ne trouvant pas les maux qui affectait certaine de ses patientes conclue a une possession satanique.

-3 femmes sont accusées de sorcellerie le 1er mars 1692 et mise en prison directement. Il s'agit de Sarah Good, Sarah Osborne et Tituba. Très vite, d'autre personne suive, cela d'une petite fillette de 4 ans à des personnes âgées. Au final, environ 80 personnes attendent leur procès dans les geôles.

-Pendant l'été, la cour est en session une fois par mois. Une seule accusée est relâchée, après que les jeunes accusatrices se rétractent à son sujet. Tous les procès se terminent par la condamnation à mort de l'accusé pour sorcellerie, aucun acquittement n'est prononcé. Seuls ceux qui plaident coupable et dénoncent d'autres suspects évitent l'exécution capitale. Elizabeth Proctor, et au moins une autre femme, bénéficient d'un sursis à exécution « parce qu'elles sont grosses » autrement dit enceinte; quoique condamnées, elles ne seront pendues qu'après la naissance de leur enfant. Une série de quatre exécutions a lieu au cours de l'été, avec la pendaison de 19 personnes, au nombre desquelles : un ministre du culte respecté, un ancien policier qui a refusé d'arrêter davantage de prétendues sorcières, et trois personnes disposant d'une certaine fortune. 6 des 19 victimes sont des hommes ; la plupart des autres sont de vieilles femmes.

- Cette situation eue des catastrophes économiques dévastatrices sur toute la communauté. Surtout si l’ont prend en compte leur problème avec leur voisin Amérindien qui prenait souvent un malin plaisir à assiéger la communauté et le fait qu’il n’avait pas de gouvernement légitime.

- Les procès en sorcellerie s'achèvent finalement en octobre 1692, les accusés sont progressivement mis en liberté jusqu'au printemps suivant. Officiellement, le gouverneur royal du Massachusetts, Sir William Phips, met un terme à la procédure après l'appel formé par le clergé bostonien mené par Increase Mather. Celui-ci publie « Cases of Conscience Concerning Evil Spirits » le 3 octobre 1692, ouvrage qui contient notamment la phrase suivante : « Il apparaît préférable que dix sorcières suspectées puissent échapper, plutôt qu'une personne innocente soit condamnée ». Enfin un homme senssé n'est ce pas !

Un petit sourire apparue sur le visage de Joseph, il approchait du dénouement de cette page d'histoire.

Maintenant, est ce qu'une personne dans cette sale qu’elles ont été les conséquences au niveau des Etats Unis même ? Un petit indice, elle sont toujours en vigueur de nos jour.

Jospeh attendait une réponse de ses étudiants, il scrutait la salle dans cette attende qu'un de ses étudiant trouve la réponse qui leur permettraient de quitté le désert nommé amphithéâtre 3 aile ouest.

Qui a dit que les jolies femmes étaient des écervelées ? La formule est connue! Beaucoup de gens et pour la plupart ce dictons est vrai. Pas bien compliqué à comprendre. Si on passe du temps à s’occuper de soit, on a moins de temps pour s’occuper du reste. Donc forcément, on est loin d’être au top. Mais il n’en va ainsi pour tout le monde. Neseis, loin d’être un puits de science, n’est pas une greluche. Pire, elle est cultivée ! Cela fait souvent tâche, alors elle le cache mais pour sa prochaine cible, elle va devoir la jouer fine.
La belle est donc dans la bibliothèque de l’université (entrée en ayant utiliser son charme sur le gardien), elle feuillette des livres sur le procès des sorcières de Salem. Elle en connaissait déjà un rayon mais voila, le très séduisant Professeur Adams tiens une lecture sr le sujet. Ce qui est drôle c’est que le cours est déjà commencé depuis une heure facile. Que fait-elle dans la bibliothèque ? Et bien, rien ne sert d’assister à son cours s’il ne sait pas qu’elle est là ? Elle regarde sa montre et se dit qu’il est temps. Elle prend le livre et se dirige vers la sortie de la bibliothèque. La chaleur écrasante de la ville a nettement raccourci sa jupe rallongeant ses jambes de façon indécente. Ses talons claquent sur le marbre et elle sort en grandes pompes de la bibliothèque. Les hommes doivent se demander qui elle est et les filles la maudirent. Soit, elle s’en contre-fiche. Elle a cours, elle !

Amphithéâtre n°3 aile ouest, un petit amphithéâtre au passage. Le chemin n’est pas long et la voila devant la porte. Elle entre sans frapper et relativement discrètement et se poste dans un coin sombre pour analyser le charisme de l’orateur.
Elle l’écouta parler quelques minutes puis, elle décida qu’il était temps pour elle de se faire connaitre. Elle descendit, calmement et en évitant soigneusement de le regarder, les marches de l’amphi et aperçut une place au premier rang. Ses jambes captaient assez l’attention, elle n’avait rien besoin de faire. Elle sentit que Joseph marquait une pause, elle sourit intérieurement. Maintenant, il savait que son auditoire avait changé. Elle s’assit sans faire de bruit et ne regarda pas son voisin qui la dévorait des yeux.
Elle l’écouta dire que les gens qui dorment allez avoir des devoirs à rendre. Elle se prit à rire. Et il a de l’humour avec ça ! Neseis affiche un sourire. Elle finira par l’avoir elle le sent. Sûrement pas aujourd’hui, mais elle se rapproche, elle le sent. Durant tout le temps où il relata les étapes du procès de Salem, elle le fixait intensément de ses yeux de givre. Il ne la regardait pas mais elle savait qu’il le faisait exprès. Neseis s’amusait beaucoup. Elle gesticulait gracieusement, mouvant son joli corps pour attirer son attention. Mais il n’était pas né de la dernière pluie.

Enfin, il posa une question :
« Maintenant, est ce qu'une personne dans cette salle quelles ont été les conséquences au niveau des Etats Unis même ? Un petit indice, elles sont toujours en vigueur de nos jours. »
Neseis n’hésita pas, elle leva le bras. Elle attendit quelques instants puis se retournant pour voir si d’autres personnes étaient candidates et s’apercevant qu’elle était seule, elle commença :
« Outre le fait de marquer la fin de la chasse aux sorcières, du moins dans l’état du Massachusetts, il est écrit dans ce livre que cela a aussi conduit à réduire l’influence de l’église sur le gouvernement, à l’époque encore très lié. En effet, la Nouvelle Angleterre s’affranchit un peu de la foi puritaine. De plus, cela à conduit, je cite, « aux principes fondateurs des Etats Unis ». »
Neseis marqua une pause et plongea son regard dans celui de Joseph. L’écervelée était restée dehors cette fois-ci. Loin était la danseuse du Pink, il avait devant lui une ancienne étudiante d’histoire de l’art qui n’aimait pas être collée par quelqu’un en culture générale. Orgueil quand tu nous tiens ?!

« Mais que pensez-vous Professeur, elle avait volontairement insisté sur le dernier mot, de la théorie qui dit que les filles accusées de sorcelleries auraient toutes des liens importants avec des Amérindiens. Ce qui changerait le sujet de contexte et le passerait de la religion à une certaine forme de ségrégation ? »
Elle eu un sourire énigmatique comme elle seule savait en délivrer. Elle n’essayait pas de coller Joseph (ne jamais blesser un homme dans son ego !!), elle essayait juste de lui montrer qu’elle en avait aussi dans le crâne même si elle jouait les filles stupides pour être tranquilles. Elle lui desservait son regard le plus doux et avait vraiment l’air d’un ange. Mais elle savait qu’avec lui ça ne serait pas suffisant. Sa mère s’était cassée les dents, il ne lui suffirait pas d’être sublime, il lui fallait être exceptionnelle et ça, c’était une autre paire de manches…

Joseph regardait dans l'ensemble tout les étudiants présent dans l'amphithéâtre. Un tiers commataient, un autre tiers trépignais d'impatience que la cloche sonne pour partir et enfin le dernier tiers semblais réfléchir affin de donné une réponse correcte a sa dernière question. Puis, las de tout cela, il posa sont regard sur une jeune femme qu'il connaissait bien, il l'avait vue rentré du coin de l'œil dans la salle de cour mais n'avait pas jugé bon de la regarder a ce moment précis. Cette femme était forte pour pousser Joseph dans ses derniers retranchements. Tout comme sa mère. Il avait tenue tête a cette femme magnifique, même si il avait faillit craquer plusieurs fois, et aujourd'hui, c'était la fille qui recommençait les mêmes jeux. Il n'était pas las de cela, bien au contraire, il était peu être limite masochiste dans a relation spécial qu'il entretenais avec la mère et aujourd'hui la fille, car il semblait aimer cela, oui, c'était surement ça, même si il refusait de le reconnaitre a lui même il aimait ces petit jeu sinon cela aurais fait bien longtemps qu'il y aurait mis un terme d'un manière ou d'une autre.

"Outre le fait de marquer la fin de la chasse aux sorcières, du moins dans l’état du Massachusetts, il est écrit dans ce livre que cela a aussi conduit à réduire l’influence de l’église sur le gouvernement, à l’époque encore très lié. En effet, la Nouvelle Angleterre s’affranchit un peu de la foi puritaine. De plus, cela à conduit, je cite, « aux principes fondateurs des Etats Unis ".

La jeune Neseis répondit correctement a la question du professeur. Cela ne surprit guère e vieux dragon. Tout comme sa mère la jeune Neseis avait hérité d'une formidable intelligence, ce qui la rendait encore plus dangereuse. Joseph lâcha un vague sourire à cette dernier, et fut intéresser par la théorie qu'elle émit. Non par le fait que cette théorie était fausse, mais plutôt par les motivations de cette dernière de le dire. Car le professeur savait pertinemment que la jeune femme se trompait rarement, que ce soit sur la passé, le présent ou le futur. Tout en détachant non sans quelque difficulté ses yeux du regard envoutant de l'oracle il reprit ses cent pas sur l'estrade tout en répondant a cette dernière.

Intéressante théorie, mais néants moins peu fiable. Même si cela peu être une piste a suivre pour et ferait un bon sujet de thèse. Effectivement, a cette époque très pieuse, les indigène était considérer sans âme. Et le fait que certaine personne se soit lié avec elle aurait put les faires passer aux yeux de l'église comme des hérétiques, des sorciers ou sorcières ou touts autres suppôt de Satan. Cela aurait put être vrai, s’ils auraient s’agies que de quelques personnes. Hors le nombre d'accusés est beaucoup trop nombreux et les indigènes détestaient avec autant de véhémence les colons que les colons haïssaient les indiens.

Il arrêta de faire les cent pas, et reposa à nouveau son regard dans celui de la jeune femme. un regard intense ...

Mais comme je l'es dis sa reste sans doute une piste à suivre. Après certaines personnes auraient puent profiter de cela pour faire accuser une autre personne avec qui il ne s'entendait pas, c'était une chose courante à l'époque. De plus il existe de nombreuse théorie, certaine sérieuse, d'autre moins.

La cloche se mit a sonné, une délivrance pour tout les élèves de ce cour a en croire les soulagement et les broua qui envahirent l'amphithéâtres.

En plus de travaille donné a ceux qui on prit cette salle pour un vulgaire dortoirs, je veux que chaqu'un d'entre vous me face un travail d'écriture d'une centaine de page avec des argument pour et contre de la théorie soulevé durant les dernière minute de ce cour.

Tournant le dos a ses élèves qui semblais presse de quitté la salle qui ressemblais plus a un sonna, Joseph alla s'assoir derrière son bureau. Il ne regardait plus Neseis, mais savait quelle était toujours là. Elle ne serait pas venue le voir sans tenté un nouveau tour de passe passe sur le dragon. Il le savait, et il l'attendait de pied ferme, se serait dur, comme a chaque fois d'ailleurs, mais ce n'est pas encore aujourd'hui qu'elle mettra a genou un dragon. Du moins Joseph se donna du courage en ce répétant mentalement cette phrase.

Avec tact et délicatesse, il lui dit que sa théorie venait s’imbriquer, comme bien d’autres, dans une interprétation de ce qui c’était vraiment passé. Loin de dire que cela était faux, il lui expliqua qu’il avait des doutes sur le fait que cela soit le fin mot de l’histoire. Après tout, le procès de Salem était un procès de sorcellerie, et il avait raison. Comme souvent d’ailleurs. Sa mère ne l’avait pas vu naître, il avait donc vu plus de siècles s’écouler que personne qu’elle connaissait. Elle soutint regard sans faillir. Les yeux des hommes ne lui faisaient pas peur. Si au début ils l’avaient impressionnée, maintenant, elle y était habituée. Elle se souvenait dans les premières années de sa jeunesse, quand son corps commença à donner des idées aux hommes qu’elle croisait. Dans un premier temps, elle les détestait cordialement, elle les haïssait de ce besoin de la posséder qu’ils avaient. Puis sa mère lui expliqua qu’elle seule avait le pouvoir d’accorder son corps à qui elle le voulait. De là, elle comprit que les regards ne sont que des désirs frustrés et qu’elle avait tout pouvoir sur ces désirs. Elle n’aime pas particulièrement la puissance mais l’idée de mettre des hommes à genoux la fait jubiler. Digne héritière de sa mère.

Quand la cloche sonna, les élèves sortirent rapidement de la salle. Elle regardait à présent son livre mais resta assise encore quelques secondes. Elle n’allait pas le surprendre en allant le voir, elle le savait pertinemment, cependant, elle espérait ne pas entrer dans une routine. Un jour ou l’autre, il céderait elle le savait. Elle se leva enfin et marcha lentement de sa place jusqu’aux escaliers et marqua une pause avant de descendre les marches jusqu’à l’estrade. Immobile, elle le regarda. La force émanait de lui comme une aura. Elle avait vraiment quelque chose pour cet homme. C’était un peu plus qu’une question de fierté et une envie d’honorer la mémoire de sa mère. C’était un jeu qu’elle aimait tout particulièrement.
« Monsieur Adams est donc professeur d’histoire. Qui l’eu cru.. »

Le même sourire énigmatique et envoutant trônait fièrement sur ses lèvres. Pauvre de lui, lui résister n’était pas simple, elle le savait. Elle n pouvait imaginer que ce soit inné chez lui, elle voyait le combat dans ses yeux. Mais elle l’aimait pour ça. Marchant lentement jusqu’à lui, elle grimpa avec légèreté l’estrade et s’approcha du bureau.
« Vous devez faire tourner la tête de vos étudiante, ce n’était pas une question. J’avais un professeur d’art qui vous ressemblez étrangement. Intelligent, élégant et diablement beau. A la petite différence que lui s’avouait qu’il était fou de moi, tandis que toi, elle passa au tutoiement car depuis le temps, il se connaissait bien maintenant, tu continue de refuser de l’admettre… »

Elle pivota sur elle-même, attrapant un livre sur le bureau et l’ouvrant à n’importe quelle page. Elle n’attendait pas vraiment de réponse à sa dernière phrase, ce n’était pas une pièce maîtresse de sa stratégie pour obtenir Joseph. Ils savaient tous les deux que Joseph était attiré par elle mais, manifestement, pas assez pour lui céder. Feuilletant le livre, un sourire apparut sur son visage.
« Dis moi, j’ai entendu dire que tu vivais depuis plus longtemps que la plupart des démons. Tu devrais donc avoir vu en vrai toutes ces choses écrites. La déclaration d’indépendance, la colonisation, mais avant cela où étais-tu ? » Elle s’approcha de lui et s’arrêta qu’une fois très proche de lui. Elle tendit les mains pour lui remettre le col de sa chemise et une fois terminé, elle maintient ses mains autour du cou de Joseph et approcha son visage du sien. Elle sentait sa respiration sur sa peau. Chaude et puissante.
« Tu as du gagner nombres de batailles et avoir connu tant de femmes. »
Son regard plongea dans le sien. Puis elle lâcha son col et recula d’un pas. Un sourire apparut sur ses lèvres et il se transforma en un petit rire cristallin sincère.

« Le chevalier Joseph, allez raconte moi une bataille, n’importe laquelle, une que tu as gagné…, elle marcha sur l’estrade dans la direction opposée puis marqua une pause et le regarda par-dessus son épaule, ou préfères-tu me raconter une de tes histoires d’amour ? »