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Please don't kill me [PV Jared]

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MessageSujet: Please don't kill me [PV Jared] Please don't kill me [PV Jared] Icon_minitimeJeu 16 Juin - 18:21

Jared Jones & Tobias Foster





♫ Where is my mind by Pixies




    Je n'aime pas quand le samedi Valentine se lève pour aller au boulot et elle me laisse comme un idiot faire la grasse matinée, les draps ne sont plus aussi chauds qu'avant et son odeur me manque c'est nul de dire ça parce que je vais la revoir bientôt, je passerais ce soir à son boulot pour qu'on puisse diner tout les deux tranquillement dans son bureau. Mes chats ne me laissèrent pas l'occasion de me rendormir, il fallait que ces petites bêtes soient nourris rapidement sinon ils vont me casser les pieds pendant un bon bout de temps et Dandy risque de s'y mettre aussi. Bref je m'occupe d'eux et décide de filer sous la douche, l'eau chaude me réveillera un peu mieux que je ne le suis. Je prend mon temps sous la douche ce que je n'ai pas vraiment le temps de faire quand je dois aller au travail, j'en profite un maximum pour une fois que je suis seul sous la douche. Je m'habille simplement un pantalon noir, un t-shirt à manche courte bleu pastel et un pull fin gris vu qu'il fait chaud en ce moment ce n'est pas la peine de sortir les gros pull en lain de mouton.

    Une fois prêt et que les animaux sont tranquilles je décide d'aller me balader en ville, je ne sais pas quoi faire alors je pense que je vais aller me balader dans cette librairie que j'ai vu l'autre jour mais je n'avais pas eu le temps de m'arrêter pour regarder ce qu'elle proposait. Je prenais le bus, j'avais pas envie de conduire aujourd'hui, j'ai pas la clim dans ma voiture alors ce n'est pas super en été mais j'ai dans le projet d'en acheter une nouvelle avec la clim ou alors ce sera une BMW décapotable ce serait super ça et puis ça ferait surement plaisir à Valentine d'avoir les cheveux dans le vent quand on fait des petites balades. J'arrivais en plein centre ville, pas loin de la petite place où il y a la librairie, j'allais y faire un tour pour voir un peu ce qu'il y a comme nouveau livre, j'ai entendu parler d'un en particulier qui semble intéressant et dont les critiques sont flatteuses, je ne le trouvais malheureusement pas bon ce n'est pas grave je vais le commander sur Internet je pense que d'autres libraires doivent l'avoir et n'allez pas me dire il faut commander sur la Fnac ou sur Amazon il est hors de question que j'aille acheter mes livres chez eux, je veux faire travailler les petites librairies et c'est comme ça que marche le commerce. L'heure tournait alors que je déambulais dans les rayons, je regardais ma montre il était déjà 12h15 l'heure d'aller manger, je connais un petit restaurant pas très loin qui font de la bonne cuisine pour un prix raisonnable c'est ça l'intérêt d'y aller.

    Je sortais de la librairie pour aller dans la rue du restaurant, comme d'habitude je commandais quelque chose de léger, une salade composée et un plat du jour qui consistait en un morceau de roti avec des légumes de saison, je commandais aussi une carafe d'eau, l'alcool se sera pour ce soir mieux vaut ne pas s'ennivrer tout de suite. J'attendis quelques minutes que le serveur veuille bien venir me servir, il y avait du monde aujourd'hui, beaucoup de monde sur la terrasse il fallait qu'ils profitent du soleil avant que celui-ci ne décide subitement de retourner ce coucher. En buvant l'eau je trouvais qu'elle avait un goût particulier mais je n'y prêtais pas tellement attention c'est habituel de trouver de l'eau de bouteille différente qui ont des goûts différent alors je me dis ça. Je finissais rapidement mon repas mais j'avais terriblement mal au ventre, je ne comprenais pas trop pourquoi parce que j'avais déjà pris ce genre de repas et me sentais totalement bien après, pas de mal de ventre indiquant que j'ai trop manger. Je me dis qu'une petite marche serait le mieux, j'avais du surement manger trop vite et donc mal de ventre après. Je marchais dans une rue opposé à celle du restaurant, j'avais maintenant en plus du mal de ventre l'impression d'étouffer, ma vue se brouillait je me demandais si je n'étais pas en train de faire un malaise, ce serait bien la première fois et je n'en connais pas la cause. Je voulais appeler à l'aide mais ma voix se transforma en un murmure, je voulais me rattraper à quelque chose vu que j'étais en train de tomber mais je n'y arrivais pas puisqu'il n'y avait rien dans la rue pour se retenir et je m'étalais de tout mon long. Je me demandais dans mon fort intérieur ce qui se passait, qu'est-ce que j'avais pu bien faire pour avoir un malaise, je pensais que j'allais mourir dans la rue et que personne ne viendrait me secourir, quelle vie de merde j'ai. Mes paupières se firent de plus en plus lourdes, ce qui m'obligea à fermer les yeux pour m'engoufrer dans le néant.
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MessageSujet: Re: Please don't kill me [PV Jared] Please don't kill me [PV Jared] Icon_minitimeMar 21 Juin - 12:20

    Quelques gouttes de solanacée pour accompagner la branche de mûrier blanc, et on laisse mariner le tout quelques heures dans cette fiole remplie d’eau. Certains ingrédients avaient été utilisés pour masquer l’odeur, le goût, pour rendre le poison indétectable. Et une concoction si parfaite, si complexe… n’avait évidemment pas pu être fabriquée par les mains maladroites de Jared dans ce domaine. C’était Otthran qui avait créé cette merveille en échange de quelques services cher payés que le maléfique lui avait déjà rendu avant même qu’il ne mette son plan en œuvre. Les problèmes s’accumulaient dans sa petite vie de pseudo-démon, et il avait grand besoin de se défouler. Le hic, c’est qu’il le faisait de plus en plus, et cette drogue prenait une place de plus en plus grande dans sa vie. Ses pulsions étaient plus régulières, plus fortes, il ne pouvait plus y résister. Il décida d’anticiper son besoin de sadisme en se prévoyant une petite après-midi de torture avec l’un de ses souffre douleurs préférés. Il se serait bien attaqué à son favori, mais le génie et lui avaient eu quelques soucis techniques ces derniers temps… Quelque chose qui atténuait fortement chez Jared l’envie de le faire disparaître de ce monde. En attendant qu’il comprenne ce dont il s’agissait et qu’il l’accepte, ce qui n’était pas prêt d’arriver, il l’évitait. Lui, qui le harcelait pourtant si souvent.

    C’est sur Tobias qu’il jeta aujourd’hui son dévolu, alors qu’il avait demandé à l’un des sorciers de sa troupe de le localiser. Monsieur avait faim, et monsieur avait décidé de manger dehors apparemment. Jared aussi avait extrêmement faim, mais pas de la même chose en tout cas. Le méchant loup sautilla à l’idée de lui faire subir mille et un tourments. Il passa rapidement aux enfers pour s’assurer que sa table préférée était bien libre, puis il débarqua dans le restaurant que lui avait indiqué son sbire. Il aperçut son adversaire à l’une des tables, le fameux bien aimé de la princesse. Comment pouvait-elle rester avec un couard pareil ? Même en étant télépathe, la logique des femmes restait inexplicable pour le maléfique. À la logique des femmes s’ajoutait aussi celle de Mike, puisque ce dernier était toujours incompris lui aussi. Le futur supplicié commanda de l’eau – cette petite nature ! – et Jared décida d’intervenir. Il pénétra dans le restaurant en gardant la terrasse à l’œil, puis il se dirigea paisiblement vers le serveur qui amenait l’eau.

    « Veuillez me pardonner ! » s’excusa-t’il en bousculant le serveur qui apportait la carafe d’eau avec un plateau d’autres choses. Jared l’aida à rattraper in extremis son plateau en lui tenant l’eau, afin de verser dans ce dernier la petite fiole qu’il avait ouverte entre temps. Il redonna la carafe au serveur et s’esquiva vers les toilettes. Pour lui, il n’y avait pas vraiment besoin de tant de mise en scène pour capturer Tobias. Il lui suffirait d’aller le voir, de le provoquer, de se battre avec, le maîtriser et ainsi l’emporter avec lui aux enfers. Cependant Jared n’était pas d’une humeur totalement joueuse. Il ne voulait pas s’amuser avec sa proie mais bien la faire purement souffrir afin d’assouvir des besoins meurtriers qui grandissaient au fur et à mesure que son plan se mettait en place. Le strip-teaseur ressortit et alluma une cigarette en attendant que sa proie termine son maigre repas. Et dire qu’à côté, lui ne faisait que manger. Il trouvait chaque prétexte pour insulter mentalement ou verbalement ce souffre-douleur, et cela l’amusait énormément. L’homme tira plusieurs grandes bouffées de fumée et ferma les yeux. Il ne craignait pas d’être vu puisqu’il n’était pas dans le champ de vision de Tobias. Il ne faisait que sentir la présence de l’esprit de ce dernier, et c’est pourquoi il était si confiant. Lorsque cette présence s’éloigna, il en déduisit que le bénéfique avait terminé, et Jared le suivit. Il jeta sa clope sur le sol, l’écrasa et entama sa traque en avalant la fumée. Il consommait énormément de tabac mais qu’importe, il ne cessait de dire qu’il mourra bien avant d’attraper le cancer des poumons, ce qui était probablement vrai.

    Tobias était tout de même bien résistant. Il fallut attendre une à deux ruelles plus loin pour que les effets du poison agissent réellement sur son organisme. Il s’immobilisa, se pencha en avant, et Jared en profita pour accélérer le pas. La proie s’écroula sur le sol et perdit conscience alors que le sportif s’accroupissait auprès de lui. Jared tâta son pouls pour vérifier qu’Otthran ne l’avait pas berné et n’avait pas concocté quelque chose de mortel. Il s’assura que les pensées de Tobias étaient bien dans le monde des rêves, des fois qu’il fasse semblant, puis il soupira. Bon, la première étape avait fonctionné avec succès ! Le strip-teaseur cala son épaule contre le buste de son souffre-douleur, enroula ses bras autour de la taille de ce dernier puis le souleva comme un sac à patate. Il se dirigea en sifflotant n’importe où, jusqu’à disparaître de tout regard extérieur. Là, il se téléporta aux enfers pour entamer les choses sérieuses. Il débarqua devant l’entrée de la salle des tortures, lieu où aucune magie ne pouvait s’activer. Jared adorait cet endroit car sa télépathie n’avait pas effet, il était totalement maître de ses pensées et non envahi par celles des autres. De plus, son avantage physique était un précieux atout lorsqu’il s’amusait à ne pas attacher ses proies pour les voir se débattre et ainsi échanger quelques coups. L’homme traversa la pièce en portant toujours son souffre-douleur, finalement heureux que ce dernier ait pris une salade saisonnière plutôt qu’une côte de bœuf et des frites. Impatient comme un enfant, il jeta le corps inerte de son invité sur une table de bois humide par le sang qui résidait déjà dessus. (Et l’odeur, je ne vous raconte pas.) Jared chevaucha ce corps frêle pour lier les mains à cette table afin d’être certain de pouvoir lui faire ce qu’il voulait. Allongé sur le dos et les bras écartés de force, Tobias eut également les pieds entravés par une corde qui les maintenaient serrés contre la table de torture. Jared, toujours à cheval sur le ventre de sa victime, regarda cette dernière avec satisfaction. Il songea durant un court instant à lui uriner dessus pour le réveiller, mais renonça à l’idée écœurante de devoir montrer sa fierté à tous les regards envieux de démons. En plus, c’était ici qu’un jour, un génie mal intentionné lui avait serré les billes pour tenter de soumettre le mégalomane… Et il avait presque réussi ! Chassant ces mauvais souvenirs de son esprit, Jared soupira et partit balader dans la salle en attendant. Il pompa un peu d’eau dans un seau, récolta quelques pinces et aiguilles avant d’aller chercher une barre de fer recouverte de chiffons sales. Il revint auprès de son souffre-douleur pour verser le contenu glacial du seau sur sa tête. Se remettant à califourchon dessus, il le gifla en s’écriant joyeusement.

    « Allez grosse larve ! Réveille-toi ma poupée, on a des choses à se dire ! Ouvre les yeux sinon j’te mords ma beauté, alleeeez ! »
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MessageSujet: Re: Please don't kill me [PV Jared] Please don't kill me [PV Jared] Icon_minitimeMer 22 Juin - 20:52

Jared Jones & Tobias Foster





♫ Where is my mind by Pixies



    Je n'avais plus aucune conscience, on dit que quand on est inconscient on a justement conscience des choses qui nous entoure, on entend les gens nous parler c'est strictement faux, je ne savais pas si quelqu'un viendrait me chercher ou si j'étais encore vivant ou mort car je me posais quand même la question. Je ne voyais vraiment pas qui pourrait me vouloir du mal, je veux autant de mal je sais que Jared ne me porte pas dans son cœur mais de la à me tuer ce serait vraiment du grand n'importe quoi il n'irait jamais jusque là. Je ne sentis pas quand on me souleva de terre pour me porter comme un vulgaire sac de pommes de terre d'ailleurs encore heureux que je ne le sache pas sinon j'aurais poussé des cris et j'aurais essayé de me débattre.

    J'avais été porter jusqu'à une table je dirais, je commençais peu à peu à reprendre mes esprits, mais tout semblait si confus dans ma tête, j'avais des bourdonnements incessants dans mes oreilles j'avais surement les oreilles bouchés. J'aurais voulu secouer la tête mais je ne m'en sentais pas la force, c'était comme si mon corps ne m'obéissait plus et puis je reçus de l'eau en pleine figure. Je crachais, j'aurais voulu m'essuyer le visage mais impossible de bouger mes bras et encore moins mes pieds, j'ouvris à contre cœur mes yeux, tout était trouble à cause de cette eau que je ne pouvais pas enlever, malheureusement je vis son visage, le visage de celui que je hais plus que n'importe qui.


    Jared ... relâche moi immédiatement

    Je tirais avec mes bras sur mes liens, j'espérais pouvoir les arracher et le tuer de mes propres mains comme ça il n'y aurait plus de problème entre lui et moi, je n'aurais plus peur de perdre Valentine pour qu'elle aille avec ce vaurien de bas étage. Ma douleur s'accentua au niveau des poignets, c'est tout ce que je gagnais a essayer de me sauver, en fait vaut mieux laisser faire les choses et affronter avec courage les supplices plutôt que de tenter de s'en échapper. Je poussais un long soupir et regarda autour de moi pour voir si je reconnaissais l'endroit où j'étais enfermé, j'aurais pu peut-être crier pour que quelqu'un m'entende mais je ne savais pas du tout où je me trouvais.

    Qu'est-ce que tu veux ?? Tu sais que Valentine appréciera pas que tu me fasses du mal
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MessageSujet: Re: Please don't kill me [PV Jared] Please don't kill me [PV Jared] Icon_minitimeLun 27 Juin - 20:08

[J'espère que ça te plaira. Si jamais je vais trop loin ou s'il y a quelque chose que tu n'as pas compris, n'hésite pas à me dire. ]

Il était tout bonnement impatient de réveille son bel endormi pour commencer la séance de relaxation. Jared n’avait pas encore de bien mauvaises pensées. Il n’avait pas prévu ce qu’il ferait, comme toujours puisqu’il agissait selon son bon désir et improvisait ses paroles comme ses gestes. Il finit par avoir ce qu’il voulait lorsqu’il vit les paupières lourdes de son compagnon s’ouvrir enfin. Jared avait la délicatesse de réveiller ce dernier avec un peu d’eau, et le bénéfique se montrait malpoli, quel ingrat ! Leur activité n’avait même pas encore commencé qu’il voulait déjà que le strip-teaseur le libère. C’était d’un ennui mortel, et cette demande ne fit qu’arracher un roulement des yeux du maléfique qui était encore étonné de l’espoir qui jaillissait de Tobias. Il ne put s’empêcher de se dire que son futur supplicié croyait au père noël, c’était tellement évident. Le sportif ne prit pas la peine de répondre, se contentant d’admirer la position qu’il avait sur son prisonnier. Il le chevauchait, il le regardait de haut et il le dominait de toute sa méchanceté. Et son regard fou fixait l’éditeur d’un air qui voulait clairement dire « oh toi tu vas souffrir. » Il sentit sous ses fesses le ventre de l’attaché remuer, tandis que Tobias s’agitait en dessous de lui. Il cherchait à se libérer, soit. Des pensées malsaines traversaient son esprit et Jared s’en abreuva presque, comme un démon qui se nourrirait de la haine qu’il ressent chez autrui. Alors comme ça, le bénéfique souhaitait le voir mort ? Et tout ça pour sauver sa belle d’un danger qui ne la menaçait même pas. Le strip–teaseur ne manquera pas de lui parler d’elle, histoire de le faire enrager tout en lui faisant subir ce que ses pulsions lui dicteraient.

Tobias lâcha rapidement l’affaire pour découvrir où le sorcier l’avait amené. Ils étaient dans la salle des tortures des enfers, là où quelques démons viennent faire leurs petites affaires sans se soucier de ce que les autres font. Jared y avait sa réputation et sa place réservée, autant dire qu’on ne se permettait pas de le déranger ici lorsqu’il se trouvait en compagnie de victime. Très rares étaient ceux qui survivaient à ces entrevues parmi les proies. Généralement, le strip-teaseur les tuait après les avoir tortuté. Cependant il avait quelques favoris dont Tobias. À ceux-là, il leur réservait toujours un traitement spécial qui consistait à leur pourrir la vie sans la leur prendre, afin d’admirer leur douleur et leur détresse. C’était par pur sadisme qu’il avait décidé de ne pas tuer son prisonnier, se contentant de lui faire souffrir le martyr pour ensuite le relâcher sur la terre et le laisser jusqu’à leur prochaine rencontre.

« Tu sais que Valentine appréciera pas que tu me fasses du mal. »
Jared haussa les épaules. Et alors ? Il portait de l’affection et du respect pour Valentine. Mais jamais elle surpassera la folie qui l’animait lui, et qui préférait largement céder aux pulsions malsaines que de garder l’amitié de la jeune femme. Il voulait blesser, torturer et humilier Tobias alors rien ni personne ne pouvait l’en empêcher. Disons que la seule personne qui serait capable de l’arrêter d’une simple parole, n’y verrait aucun inconvénient à ce que le sportif pratique son sport favori et meurtrier encore une fois.
« Tu comptes sur ta princesse pour venir te sauver ? T’en fais pas va. Si tu lui raconte les détails de notre petit rendez-vous, tu n’auras qu’à lui passer le bonjour pour moi. » répondit-il naturellement, en promenant ses doigts sur la chemise de Tobias pour la déboutonner.

Douleur et sexe. Jared faisait clairement la distinction entre ces deux mots. Cependant l’excitation qui l’animait lorsqu’il désirait quelqu’un et celle lorsqu’il faisait du mal à une personne, étaient extrêmement proches. Il ne les confondait pas, mais elles l’amenaient à reproduire quelques gestes ou paroles similaires. Il pouvait lui arriver de caresser ou de faire preuve de tendresse envers l’un de ses supplicié, mais il s’agissait là d’une douceur froide et menaçante, qui ne présageait rien de bon. Jamais il ne s’était servi de son engin viril durant une séance de torture, et jamais il n’avait mélangé la jouissance du sexe avec celle du mal. Malgré ce qu’il laissait croire par ses paroles et sa réputation – car il aimait être vu comme un démon – Jared n’était pas un violeur. Surtout pas avec les femmes dont il appréciait trop la compagnie pour ça. C’est un monstre sans limite, mais non un violeur. Le maléfique promena sa main sur la gorge de Tobias, ne faisant rien de bien méchant pour le moment. Il finit par se relever et sauta sur le sol pour ramasser un gros poids qu’il souleva à deux main tant il était lourd. Il fit passer le bout d’une corde dans le crochet de cette masse, l’autre bout dans un crochet qui était suspendu plus au-dessus de Tobias. Les tables de torture ici avaient toutes une série de mécanisme sympathiques avec des barreaux de fer ainsi qu’un espace suffisant pour les tarés comme Jared qui aimaient bien s’asseoir sur leurs victimes. La masse étant tractée par la corde, il tira dessus et le poids se souleva vers le crochet en l’air. Il enroula la corde autour du cou de Tobias. Il gardait la main dessus car s’il lâchait, la corde – avec le poids de la masse – risquait d’étrangler son prisonnier et il ne voulait pas le tuer aussi vite. Jared attacha une nouvelle corde à la masse afin d’y relier une solide barre de fer. Il s’assit sur les cuisses de Tobias et décrocha ses pieds avant de les attacher chacun à la barre de fer. Difficile à suivre ? Ce n’était pas bien compliqué. Tobias était maintenant obligé de garder les pieds en l’air afin de soulever le poids qui était sur la barre de fer. S’il lâchait, la masse baissera et la corde dessus reliée à son cou l’étranglera. C’était une épreuve de muscles puisque le poids était lourd et que n’importe qui n’aurait pas la force de maintenir ce poids éternellement. Jared avait déjà utilisé ce stratagème avec plusieurs victimes. Il les torturait, elles finissaient par craquer sous l’épuisement et s’étranglaient. Ca occupait les proies, ça les effrayait et le strip-teaseur se délectait de les voir lutter pour leur survie, tout en suffoquant lentement à la fin lorsque la fatigue martyrise leurs jambes.

« Bien bien bien, que je t’explique. Ce truc, là, gros et noir, c’est relié à ta petite gorge si fragile et si juteuse. Soit tu me montre les muscles saillants de tes jolies gambettes en soulevant la masse, soit elle tombe et la corde se resserre… et tu pourras dire Adieu à ta belle Valentine. Je me suis bien fait comprendre ? Alors je lâche ! »

Jusqu’ici, Jared avait une main agrippée à la corde qui reliait la gorge de Tobias au poids. Il tirait dessus afin d’aider ce dernier. Lorsqu’il expliqua son plan, il lâcha par ailleurs la prise et laissa maintenant le sort du bénéfique entre ses propres mains. Ou plutôt entre ses jambes. Le maléfique se releva et sauta de nouveau de la table pour aller tourner autour. Sa main vint se loger dans les cheveux de son prisonnier qu’il caressa très affectueusement, tout en affichant un énorme sourire bête.

« Bon mon joli, par quoi est-ce que je commence ? Je te défigure ou bien je t’arrache les doigts ? Déjà, on va commencer par virer cette vilaine chose qui m’empêche de t’admirer sous tous tes angles. »

Il se pencha au-dessus de son prisonnier et arracha la chemise de ce dernier afin de dévoiler son torse. Une fois ceci fait, il posa une main sur le nombril de Tobias et tourna la tête vers lui pour attendre sa réponse. Parce que oui, Jared n’est pas vache, quand même, il demande même l’avis de son prisonnier ! Si c’est pas un bon bourreau.
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MessageSujet: Re: Please don't kill me [PV Jared] Please don't kill me [PV Jared] Icon_minitimeMar 28 Juin - 20:59

[si jamais tu vas trop loin je te le dirais ne t'en fais pas]

Jared Jones & Tobias Foster





♫ Where is my mind by Pixies




    Mon coeur battait la chamade, non je n'ai pas peur au point d'attendre que Valentine vienne me délivrer, je ne suis pas du genre à attendre l'aide de quelqu'un d'autre bon si j'avoue je suis un trouillard de première qui attend en effet que quelqu'un vienne me sauver mais surement pas la femme de ma vie j'aurais trop peur qu'il s'en prenne à elle par la suite. Je ne sais toujours pas où je me trouve, j'ai beau regarder autour de moi autant que je peux mais non je n'ai jamais été ici, un cri me fit sursauter mon sang se glaça dans mes veines me connaissant j'avais surement du pousser un soupir, quel était ce bruit ou ce cri ?? Jared allait surement se marrer de me voir agir ainsi, tout le monde n'est pas aussi vaillant que lui à aller au-devant du danger. Si jamais c'est un monstre qui vient de faire du bruit si ça se trouve il va venir me faire du mal et ... et ... me tuer probablement, je tremblais comme une feuille rien qu'à l'idée de voir un monstre apparaitre pour me dévorer tout cru. Je n'avais même pas fait attention que Jared se tenait assis à califourchon sur moi, c'est extrêmement génant d'avoir un homme qui se tient dans une position que je n'apprécie pas beaucoup, je préfère nettement voir ma bien aimée à califourchon sur moi. Le fait aussi qu'il se mette à déboutonner ma chemise me géna encore plus, je regardais non pas sa main qui osait faire cela mais son visage, son sourire diabolique, il jubilait tellement que ça me donnait envie de vomir.

    Jared je t'en prie arrête, tu n'as aucun droit de me dévêtir ainsi

    Je n'avais jamais été d'une pudeur extrême, je n'aime juste pas trop mon corps donc il est vrai que au début de notre relation avec Valentine je me déshabillais dans le noir et puis petit à petit j'en suis venu à me mettre nu devant elle dans la lumière, elle disait aimer mon corps et moi ça me donnait un peu plus confiance en moi. Je fermais un instant les yeux juste un instant et n'allez pas vous imaginer que je suis en train de prier franchement je ne suis pas si futile même si je crois en Dieu. Je sentis quelque chose sur mon coup, j'ouvris un oeil et vis qu'il accrochait une corde autour de mon coup, c'est quoi ce truc je ne comprend plus rien. En levant mes yeux au ciel enfin au plafond je vis un poids énorme et là je compris vite qu'il allait me faire applatir comme une crêpe, non mais il est fou de faire ça il sait que c'est interdit de tuer des gens même s'ils vous on fait du mal. Je suais beaucoup, je ne devais pas sentir tellement bon mon Dieu que je puisse prendre une douche je doute fort qu'il me laisse prendre une douche il serait capable de venir m'étrangler avec le tuyau du pomeau de douche. Et je vis une barre entre mes jambes alors là je me sentis vraiment fébrile.

    Jared je sais qu'on ne s'apprécie pas mais on est pas obligé d'en arriver là .... on peut trouver un terrain d'entente

    Je ne lachais pas du regard ce poids qui pourrait tomber sur moi d'un moment à l'autre, pourquoi on en est arrivé là ce n'est pas possible d'haïr quelqu'un à ce point ou de l'humilier comme il le fait, il n'est pas humain comme bien des femmes le disent non c'est un monstre et personne ne peut dire le contraire j'en ai la preuve vivante. J'avais envie de gigoter pour partir d'ici au plus vite mais je ne pouvais pas bouger les jambes sans que ce maudis poids n'arrive directement sur ma tête.

    Je tiendrais pas longtemps avec les jambes comme ça

    Je le regardais toujours, il se déléctait du spectacle, me regardant et souriant comme si j'étais le plat qu'il allait manger avec appétit ou comme si j'étais l'araignée qui l'empêchait de fermé l'oeil parce qu'il a peur qu'elle vienne le dévorer. Subitement alors que je ne m'en doutais pas le moins du monde il arracha littéralement ma chemise, je restais coi je ne savais pas quoi dire devant une telle violence et une telle fougue.

    T'es fou elle m'a coûté les yeux de la tête
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MessageSujet: Re: Please don't kill me [PV Jared] Please don't kill me [PV Jared] Icon_minitimeMer 29 Juin - 0:29

Quelque chose qui était toujours aussi surprenant Tobias pour Jared, c’était son espoir. Sa naïveté, plutôt. Toujours à croire qu’il pouvait s’en sortir et que l’homme qui lui faisait subir mille et une tortures plus ou moins graves ne pouvait pas être « si monstrueux que ça ». Le strip-teaseur avait relevé la barre bien haute et comptait bien supprimer totalement cette part d’innocence chez son souffre-douleur. C’était presque vexant de savoir que l’ennemi ne vous pensait pas capable d’une telle chose. Bien sûr que le maléfique était en mesure de lui infliger tout ce qu’il trouvera de plus douloureux et de cruel à faire ! Son sadisme n’avait plus aucune limite et ce n’était pas pour rien que beaucoup de personnes dans son entourage le croyaient démon. Il est vrai que si on ne se renseigne pas, Jared paraît tout sauf humain. Pourtant, son humanité était bien là. Enfouie quelque part dans les méandres d’une zone d’ombre qu’il n’éclairait qu’en cas de besoin. La folie avait une place bien plus grande dans sa tête. Cette petite humanité qui coulait autant dans ses veines que dans ses émotions n’avait pas son mot à dire pour bon nombre de choses. Il arrivait que certains individus bien placés la fassent ressortir de temps à autre, mais la différence n’était pas bien flagrante. Jared avait beaucoup être humain, il faisait partie de ces hommes dont le fond sera toujours irrémédiablement mauvais. S’il n’était pas sorcier, il aurait probablement été en prison après avoir tué plusieurs personnes tel un sociopathe esclave de ses pulsions. Malheureusement le destin attribua à ce malade des dons hors du commun, comme à beaucoup d’autres. S’il existait des personnes capables de le faire changer – bon courage quand même, - il ne restera qu’un pauvre individu fou caché sous un masque de charme.

Les victimes comme Tobias le voyaient non pas sous sa vraie nature – puisque c’était sa folie qui le faisait agir ainsi – mais sous son état le plus inquiétant. Cet état où il cédait totalement à ses pulsions pour se nourrir de la souffrance d’autrui comme s’il s’agissait d’une énergie tout bonnement indispensable à son être. Certains sont dépendants de la drogue, lui a choisi le supplice. Il n’en éprouvait aucune honte. Il l’avait accepté dès lors qu’il s’était senti chuter dans les ténèbres il y a quelques années. Il vivait avec, et ne pouvait plus s’en passer. Certes, ce n’est pas une excuse valable pour avoir kidnappé et attaché Tobias aux enfers. Mais à force d’agir aussi méchamment, il n’avait même plus besoin de justifier ses actes. Il faisait des choses mal, et cela n’étonnait plus personne. Quel intérêt de lui demander pourquoi il s’en prend à ce bénéfique, quand on voit le plaisir que cela lui procure ? Il répondit vaguement qu’il avait tous les droits lorsque l’autre lui demanda de laisser ses habits tranquilles. Et puisque ça semblait particulièrement déranger l’éditeur de se faire dévêtir, alors le strip-teaseur allait se faire un réel plaisir de le mettre à nu. Il l’aurait laissé en slip ou en caleçon s’il n’avait pas compris que Tobias possédait un minimum de pudeur et ne souhaitait pas montrer son nombril aux enfers. Tout pour le faire souffrir, vous ais-je dis.

Si Jared ne possédait pas ici son talent de télépathie, il pouvait quand même détecter la peur de sa victime par les indices gestuels que ce dernier laissait derrière lui. Les faibles tremblements, la sueur puis la fermeture des paupières. Provoquer ce sentiment chez autrui avait pour résultat de rendre le sportif extrêmement fier de lui. Il n’en devenait que plus attentionné et plus affectueux auprès de son prisonnier. Il ne le brutalisait pas –pas encore – et se contentait de lui passer la corde au cou, prenant même le soin de lui expliquer que si Tobias le soulevait pas ce poids avec les jambes, la masse l’étranglera. Ce dernier lui proposa un terrain d’entente, et c’est encore cette naïveté qui attendrissait le maléfique. En toutes les circonstances, Tobias restait « mignon ». Un gentil à l’état pur, comme les méchants détestent habituellement. S’il n’existait pas, il faudrait l’inventer, car il faisait honneur à sa patrie. Le strip-teaseur soupira.
« Je trouve que l’on s’entend déjà très bien. » répondit-il d’un naturel déconcertant.

Le poids n’était pas prévu pour lui tomber sur la tête, puisqu’il se trouvait sur la barre de fer que les jambes de Tobias soulevaient. En revanche, la masse était reliée à une corde qui passait sur le crochet du plafond et qui redescendait entourer la gorge du cher supplicié. Et si le poids tombait, la traction exercée sur la corde enserrera la gorge de la victime jusqu’à l’étrangler. La durée de vie de Tobias dépendait donc des muscles de ses cuisses. Du moins, c’est ce que lui faisait croire Jared car ce dernier n’était pas certain de vouloir laisser mourir son souffre-douleur. Il ne pouvait pas se priver d’un luxe qui lui faisait autant de bien. Il ne répondit pas lorsque Foster lui déclara qu’il ne tiendrait pas longtemps, et se contenta d’afficher temporairement une moue déçue. Il le fit clairement réagir lorsqu’il arracha sa chemise.
« Ne t’en fais pas mon beau, de toute manière tu n’en aurais eu plus besoin. » rétorqua-t’il en fouillant dans les outils non loin, cherchant apparemment quelque chose et prenant son temps histoire de laisser sa victime se familiariser avec son épreuve musculaire. Il regarda les sourcils froncés un étrange objet composé de plusieurs trous dont les bords étaient tranchants, comme une râpe à fromage. Il la manipula entre ses doigts, haussa les épaules puis décida d’essayer ce truc. Il revint aussitôt s’assoir à califourchon sur le ventre de son très cher souffre-douleur puis se pencha sur lui. Tobias était en sueur et cela avait le don d’attirer irrésistiblement Jared. Ce dernier jouait énormément sur les gestes charnels et les contacts – d’où son métier – et il ne pouvait s’empêcher de s’offrir quelques divergences que, pourtant, il ne qualifiera jamais de sexuelles. Autrement dit, il se pencha en avant, maintint la tête de Tobias avec les deux mains puis lécha allègrement sa gorge comme un vampire qui nettoie le sang, avant de se redresser en léchant ses lèvres, avec un sourire qui semblait vouloir dire « délicieux ! »
« Tu as tort sur un point. Je t’apprécie beaucoup plus que tu ne le crois mon petit cœur. »
Il plaqua son outil de torture au niveau des pectoraux de Tobias, appuya, puis commença à frotter. Il s’émerveilla devant les morceaux de peau qui ressortaient comme du gruyère, avant que le sang ne vienne se mêler à cette salade de chair râpée sous des petits bruits écœurants, rougissant les doigts du bourreau complètement fou de joie devant ce spectacle gore.
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MessageSujet: Re: Please don't kill me [PV Jared] Please don't kill me [PV Jared] Icon_minitimeJeu 30 Juin - 20:27

Jared Jones & Tobias Foster





♫ Where is my mind by Pixies




    Un jour j'ai cru qu'il y avait encore un peu d'humanité en Jared lorsque Anna m'avait parlé de lui comme du meilleur homme sur terre c'était en gros ce qu'elle avait dit, je ne l'ai pas cru parce que c'est tout bonnement impossible s'il était le meilleur homme sur terre il n'aurait jamais couché avec Valentine et elle le suivrait encore comme un toutou, remarque elle le faisait à moitié puisq'elle continuait de le fréquenter mais vu comment elle en parlait je me disait qu'il ne lui avait pas fait de mal. Mais il se trouve que son comportement avec moi est déplacé, je n'ai jamais compris il s'en prenait à moi, je ne lui ai rien fait aux dernières nouvelles sinon je n'en ai aucun souvenir. Je me risquais à poser la question fatale qui m'éclairerait peut-être ou pas mais qui ne tente rien n'a rien comme dit si bien le dicton, ma voix était cependant tremblotante.

    Pourquoi tu me hais ?? Qu'est-ce que je t'ai fait pour mériter ça ??

    On respire calmement ce n'est pas le moment de fléchir ça lui ferait trop plaisir que je m'énerve même si j'ai envie de lui arracher les yeux et de lui couper ses couilles et de planter une épingle dans ses yeux. Mon Dieu ce genre de pensée est digne d'un démon, je suis gentil moi je n'ai pas à avoir de telle pensée il faut que j'arrête de penser mon cerveau est en ébullition et je me dis n'importe quoi, tout va bien se passer ce n'est qu'un cauchemar je vais me réveiller dans les bras de Valentine ou dans la rue où je suis tombé peu après le restaurant. Je fermais les yeux mais avec force, je suis sur que ce n'est qu'un cauchemar j'en ai déjà fait des cauchemars où j'ai l'impression de vivre réellement ce qui se passe et ce n'est pas le premier avec Jared. Je rouvre les yeux mais non je suis bien dans cette pièce si on peut appeler ça comme ça et toujours avec ce taré qui cherche un truc dans une boîte à outils on dirait. Je relève un peu la tête mais elle me fait un mal de chien j'ai du me cogner en tombant, je ravale mon râle parce que je n'hurle jamais et ce ne sera pas lui qui me fera hurler pour la première fois de ma vie. Je me recouche, je n'ai pas le choix à vrai dire.

    Jared on est ...

    Je n'ai pas eu le temps de finir que Jared s'assit une nouvelle fois à califourchon sur moi, c'était une manie ou quoi de faire ce genre de chose, moi je n'aime pas du tout j'aurais envie de lui donner un coup de pied en plein dans ... Mais il fait quoi à me prendre le visage entre ses mains ?? Il commença à me lécher le cou, il est sado voila je le savais il est copmlètement fou et espère que je vais jouer avec lui sur ce plan non mais il me prend pour quoi. Je n'aime pas ça du tout on dirait un chien qui me lèche tellement il est content, il manque plus que ce taré remue sa queue et ce sera un vrai chien. Il me regarda avec un air vraiment bizarre et son numéro de lécher ses babines c'est vraiment trop nul, je le regardais à mon tour droit dans les yeux et lui cracha au visage un beau crachat c'est la seule chose que je peux faire.

    On est où ??

    Voila l'autre question fatale que je me posais depuis tout à l'heure, je ne me sentais pas plus fort de lui avoir posé la question ni de lui avoir cracher au visage, c'était juste tout ce que je pouvais faire pour lui montrer que même si j'ai un peu peur, bon ok j'ai la trouille de ma vie mais qui ne l'aurait pas quand un malade de ce type vous kidnappe et vous séquestre mais je voulais donc lui montrer que je suis capable de surmonter ma peur. Mais ma peur est acceptable puisque il commence à me raper le torse, je suis pas un fromage et moi je peux rien faire je suis obligé de regarder ce spectacle, en fait je vois rien puisque j'ai les yeux fermés mais le bruit et la douleur sont bien réelles. Je ferme la bouche et serre les dents je ne dois pas lui donner ce plaisir de m'entendre hurler de tout façon personne ne viendrait m'aider si je hurlais. La douleur était cependant très forte, je sentais que du sang, mon sang coulait sur moi il était fou mais vraiment atteint.
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MessageSujet: Re: Please don't kill me [PV Jared] Please don't kill me [PV Jared] Icon_minitimeJeu 29 Sep - 20:35

[Pardon pour mon retard. Je comprendrais si ce sujet ne t'inspire plus ;) ]

Il haussa un sourcil sous la question du bénéfique. Le haïr ? Que nenni ! Jared l’adorait. Et ce sans ironie, il châtiait sa proie au son de l’amour qu’il lui porte. Si cela avait été une autre victime, elle serait morte sans larme, sans beauté. Mais là, il s’agissait d’un supplice dans les règles de l’art ! Tobias en lui-même, corps et âme, était une œuvre de qualité sur laquelle le maléfique avait quadrillé son périmètre. Pas toucher, ce tableau m’appartient. Le simple fait de déclencher une once de dégoût chez ce neutre en le touchant, faisait couler une vague de satisfaction chez le fou sombre. Jared portait une attention plus que particulière sur sa victime. Il ne cessait de l’observer de haut en bas, prenait le soin de répondre à chacune de ses questions et s’assurait de son état environ toutes les semaines pour être certain de pouvoir cueillir son poisson en bonne santé, lorsque vient le moment de la pêche. C’est sans aucune honte qu’il avouerait veiller sur Foster pour son propre intérêt personnel. De telles œuvres d’art mettaient l’artiste dans un état de transe incontrôlable. Jared voulait tout lui faire. Analyser tous les niveaux de douleur sur cet homme, l’étudier se tordant de douleur et admirer la larme à l’œil la réussite de son examen. Ô, comme il avait hâte d’atteindre l’apothéose avec cette fleur…

« Tu ne comprends pas. » murmura-t-il d’un air un peu déçu. Peut-être qu’au lieu d’expliquer, il pouvait lui montrer ? Oui, une preuve parlait mieux que des paroles ! Et puis l’entourage de Jared savait que même si ce dernier était une grande gueule, il ne lançait pas des paroles en l’air. Menacer quelqu’un de lui faire manger sa langue n’était certainement pas une image, et il était arrivé au méchant de pendre des personnes par la langue jusqu’à ce qu’elle se déchire. La sanction pouvait s’arrêter là, comme elle pouvait se poursuivre selon l’humeur et le bon gré du bourreau. Il suffisait d’un peu de mauvaise volonté pour réveiller chez Jared le sadisme si effrayant qui l’animait en cet instant. Il observait le visage de Tobias comme s’il contemplait une pierre précieuse. « À quoi peux-tu bien penser mon ami, ô comme j’aimerais que tu me montre tes idées de violence. » se disait-il en s’imaginant la haine que cet homme devait éprouver pour l’ordure qu’il était. Sa télépathie lui manquait comme s’il était devenu aveugle ou sourd. Il avait l’habitude depuis tout petit de l’avoir à sa disposition. Être dans cette salle de torture, c’est vivre avec ce manque constant comme s’il se bandait les yeux à chaque fois qu’il venait ici. Il ne pouvait donc que s’imaginer ce qui pouvait bien défiler dans la tête de son prisonnier, puisqu’il était incapable d’aller y lire ses trésors comme à l’accoutumé. Il ferma les paupières, laissant deviner sa peur au maléfique. Ey non, tu ne rêves pas. Ce cauchemar est bien réel, et il ne fait que commencer. Disait le sourire fou du sorcier.

Après avoir sorti sa râpe personnelle, il chevaucha Tobias sans vraiment réfléchir à ce qu’il allait faire. Il n’anticipait pas, il agissait au feeling. Et sa capacité d’improvisation ne l’avait encore jamais déçu. Il jeta quelques coups d’œil sur les jambes de Tobias. Non pas pour s’assurer qu’elles étaient encore bien attachées, mais pour ne pas trop les écraser. Il ne voulait pas qu’en plus de soulever toujours ce poids qui devait lui éviter l’étranglement, il ait aussi à soulever le corps du maléfique. Ce dernier ne souhaitait pas le tuer trop vite et s’il savait que l’apothéose tant rêvée viendra probablement en le voyant suffoquer, il ne voulait pas que ça arrive maintenant. Il goûta à la peur de son partenaire par un coup de langue dans sa gorge. La magnifique preuve de haine se réprima par un crachat bien placé qui atterrit en dessous de son œil droit. Jared s’y attendait, et ne comptait pas à ce que sa victime apprécie les marques d’affection qu’il lui accordait. Bien au contraire, ce bourreau appréciait bien plus torturer une personne qui n’aimait pas ça et qui se débattait. Un supplicié consentant, c’était mauvais. Il s’empara des restes de la chemise de Tobias puis s’essuya le visage avec. À quoi bon frapper cet homme, la vengeance viendra bien assez tôt et surpassera de loin le niveau de ce crachat. Foster pouvait bien user toute son énergie dans ces répliques salivaires, Jared était trop heureux de ce qu’il avait en tête pour s’en offusquer. Et puis il avait l’habitude que ses prisonniers se rebellent un peu au début, il aimait ça.

« On est où ?? »

Jared se redressa. N’avait-il pas présenté ce hall de gloire à son très cher ami ? Quelle erreur ! Il resta bien assis tel un cavalier sur son cheval, mais leva les bras comme l’hôte d’un manoir accueille ses invités pour la nuit.

« Au plein cœur des enfers, mon beau. Si tu tournes la tête, tu pourras apercevoir quelques autres innocents ou non dans ta situation. Mais ne t’inquiète pas. » - il se pencha en avant comme s’il murmurait un secret que les autres démons de la salle ne devaient pas entendre – « Ils s’amusent beaucoup moins que nous. Ils manquent cruellement de style et d’imaginations, ces créatures du mal. Tu vois c’est du gâchis, je trouve. » il roula des yeux et haussa les épaules. Il pensait vraiment ce qu’il disait. Il n’y avait qu’à regarder les autres supplices qui se déroulaient autour. Quelques cris de douleur, des supplications, mais les victimes mourraient toujours au bout de quelques minutes si leur bourreau ne les laissaient pas moisir ici. Les démons n’avaient pas cette capacité extraordinaire de ressentir la douleur d’autrui comme une jouissance extrême, ce qui animait notre Jared en cet instant. Ils tuaient, ils étaient bien souvent cruels, mais bien trop peu raffinés. Bien entendu, il ne s’agissait que d’une généralité. Certains dépassaient cette norme avec des qualités artistiques particulièrement surprenante. C’est avec ce genre de démon terriblement mauvais que Jared était susceptible de vraiment bien s’entendre. Des créatures qui, comme lui, jugent que la torture est un art qui provoque un plaisir bien supérieur à tout ce qu’ils peuvent connaître jusqu’à présent. C’est une fusion entre le prisonnier et le bourreau, un lien étroitement complexe qui se forme entre eux pour toujours. Car nul doute que Tobias aura beaucoup de mal à oublier Jared après ce que ce dernier lui fera.

Avant de passer à l’acte, le maléfique s’assura encore que l’autre tenait bien par les jambes son poids. La torture prendra probablement fin lorsque Tobias n’aura plus de force dans les cuisses. La masse chutera sans qu’il ne puisse plus soulever, exécutant une traction sur la corde qui l’étranglera. Que fera Jared à ce moment ? Ce dernier laissera probablement faire jusqu’à ce que la proie suffoque et perde conscience. Ce moment de joie passé, il le libérera de ses chaînes et tentera de le ranimer en lui insufflant de l’air dans l’oxygène, puis de le ramener dans la rue où Tobias était tombé dans les pommes. C’était grossièrement le programme de la fin d’entretien. Mais tout pouvait changer suivant l’humeur instable et les envies soudaines de Jared. Il ne voulait pas vraiment le voir mort mais si Tobias le mettait au défi de le tuer, il le ferait sans une once d’hésitation. Cependant, c’était en le laissant vivant qu’il pouvait le plus le faire souffrir. Et puis Foster était une de ses proies favorites. Donc pour assouvir ses méchantes pulsions de violence et de sadisme, Jared avait besoin de le maintenir en vie, cela va de soi. Alors qu’il commençait le cycle de douleur avec son arme de fortune, il n’obtint aucun son de la part du torturé. Pas un cri, pas un gémissement. Pourtant, ça devait faire mal. Le maléfique ne s’attarda cependant pas longtemps sur ce détail. Il avait du sang plein les doigts et charcutait la peau du torse de sa victime avec son instrument. Il traça plusieurs lignes rouges sur le ventre de Tobias avec le sang du dernier. Jetant quelques coups d’œil au visage ennemi, il finit par rompre lui-même le silence en ramenant à lui l’outil de souffrance.

« Ce n’est ni de la haine, ni de la colère. C’est de la passion, ma jolie. Tu es le sujet idéal à la souffrance. Châtier quelqu’un, c’est comme d’accomplir un art jusqu’alors inexprimé, incompris. Je ne m’attends pas à ce que tu me comprennes, je m’en fiche totalement. Mais si seulement tu pouvais en déduire que ce n’est pas par devoir que je te fais ça, mais bien par plaisir. Inutile de me demander pourquoi, ce serait comme demander à un démon pourquoi il a une corne sur le front. »

Il n’avait de toute façon pas l’intention de s’étendre en explications. Il ne voulait pas être compris, il se moquait bien que quelqu’un puisse savoir ce qu’il ressentait puisqu’il assumait parfaitement le rôle de monstre qu’il prenait. Mais s’il réussissait à faire entrer dans la petite tête de cet homme que c’est de la pure méchanceté, qu’il était capable des pires horreurs et surtout qu’il n’était pas le seul, ce serait déjà bien. D’ailleurs, non, il ne pouvait pas commettre les pires horreurs. Car Jared avait tendance à ne pas mélanger douleur et sexe. À moins que ce ne soit le trip particulier d’une demoiselle qu’il séduit, il n’était pas encore assez odieux pour ce genre de pratique. Il avait des valeurs, il avait un honneur, et toute sa folie ne pouvait rien contre les limites qu’il s’était lui-même imposées. De plus, il n’éprouvait aucune envie de mêler le sexe à ses séances de torture. Ce n’était pas comme s’il était insatisfait des deux côtés. Il avait une vie bien remplie dans les deux catégories, et mixer ces notions ne l’excitaient absolument pas. Il avait distinct les deux ‘jouissances’ par des différences qui lui étaient cruciales. La transe devant la souffrance d’autrui, et l’état d’euphorie après avoir fait l’amour. Complètement différent, et inaccordable à ses yeux. Peut-être allait-il changer par la suite mais tant qu’il gardait sa part d’humanité bien active, il restait un minimum correct. Et puis la présence de Mike l’aidait fortement à ne pas plonger dans cette dépravation, il fallait l’avouer.

Jouant à tripoter la poitrine blessée de sa victime, il posa ensuite la râpe après avoir jugé le travail accompli. Le sang coulait des deux côtés du corps de sa proie et l’odeur cuivrée qui s’en dégageait en devenait presque écœurante. Avec l’adrénaline, Jared n’était pas dérangé par le parfum de ce liquide acre. Mais il ne risquait cependant pas de commettre le genre d’acte horripilant comme boire ce sang. Il n’avait rien d’un vampire et n’y voyait là aucun plaisir à en tirer. Il posa l’instrument à côté de la tête de Tobias puis s’empara d’une petite lame à peu près propre. Un poignard double lame peu épais et probablement juste assez aiguisé pour trancher de la chair. Afin de parfaire son sentiment de souveraineté, il caressa de la lame la gorge de Tobias. Tenaillé entre l’envie de l’égorge d’un geste vif ou de faire autre chose de son arme blanche, il opta pour la seconde solution en vérifiant une dernière fois derrière lui si l’autre soulevait toujours la masse avec ses jambes. À cet instant, il ne faisait plus du tout attention à Tobias. Dans sa vision, il n’y avait plus que l’image d’une lame et de la chair qu’il voulait trancher. Son regard de fou fixait avec une étrange intensité son arme, comme s’il semblait totalement perdu dans ses propres pensées. Découper cet épiderme par l’intermédiaire d’une pointe plus ou moins acérée… Former une courbe de saignement, d’une profondeur plus ou moins forte car il fallait bien sûr varier l’intensité. Voilà une forme d’art ! De plaisir, de douleur comme de joie qui pouvait combler un homme comme lui. La violence gratuite, la souffrance de l’innocent comme la vengeance sur un coupable, peu lui importait car ces personnes criaient toutes pareilles au final. Il sentait le corps chaud et palpitant de sa proie en dessous de lui. Toujours assis sans vergogne sur le ventre de Tobias, parce que c’était la position la plus confortable pour lui faire des misères. Sa main libre de tout objet coupant était d’ailleurs posée dessus et appuyait au niveau du cœur du sorcier afin non seulement de lui faire mal à cause des blessures sur sa poitrine, mais aussi de sentir cet organe facilement qu’était le cœur. Il arrivait régulièrement à Jared de travailler dessus sur une victime. De l’étouffer, la noyer, la faire hurler de douleur, et dans tous les cas de voir ce qui torturait le plus son corps en sentant le cœur battre bien plus fort. Une fois, il avait trouvé comme jeu de calmer la tension de sa proie, de l’accélérer par des peurs, de la calmer à nouveau, de l’affoler, etc… La personne finit par mourir d’une crise, ne pouvant plus supporter ces irrégularités cardiaques. Notre bourreau adorait tout particulièrement plaquer sa joue ou bien la paume de sa main au niveau du cœur de la personne au moment où il achevait cette dernière. Ainsi, suivant la méthode utiliser pour tuer son adversaire, il percevait le cœur ralentir puis cesser de battre plus ou moins vite. C’était captivant, il se sentait capable de tuer des centaines de personnes simplement pour étudier encore et encore ce phénomène. Parfois encore il posait une main sur sa propre poitrine également pour comparer. Le cœur d’en face s’arrêtait, cessait de battre, tandis que le sien s’accélérait et il respirait plus vite, plus fort, tant il était émoustillé par son meurtre. Toute une folie passionnée et complexe.

Dans ses réflexions, sa main caressa les lambeaux de chair de la poitrine de Tobias avec une affection meurtrière. Puis il sortit de sa contemplation. Son autre main enfonça brusquement la pointe du poignard dans l’épaule de son ennemi. Non content de commencer ainsi, il tourna même l’arme dans la blessure pour provoquer davantage de dégâts sur l’os rencontré. La lame coupait la chair sans aucun mal, le tissu se déchirait autour dans un flot rougeâtre qui excitait vraisemblablement le visage fou du sportif. Sa première main continuait de contraster cette violence ignoble par des mêmes caresses sur la poitrine de Tobias.

« Sur une échelle de un à dix. Comment ressens-tu cette douleur ? » demanda-t-il le plus naturellement du monde et en levant les yeux vers le visage probablement endolori du sorcier neutre. Il aurait aimé posséder son talent de télépathie pour ressentir toute la détresse qu’il imaginait le prisonnier ressentir. Cela faisait partie de ce qu’il préférait, et il ne pouvait pas s’en passer. Cependant il avait choisi pour plusieurs raisons la salle de torture. Et aussi maléfique soit-il, ses pouvoirs étaient inefficaces ici, comme tous les dons de tout sorcier et toute créature. C’était la meilleure particularité des enfers, un concept nouveau et révélateur qui faisait le régal de tous les dingues comme Jared.
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MessageSujet: Re: Please don't kill me [PV Jared] Please don't kill me [PV Jared] Icon_minitimeDim 2 Oct - 15:34

Jared Jones & Tobias Foster





♫ I feel you by Depeche mode





    J'aurais vraiment aimé être ailleurs, ne pas sentir le poids de cet abruti sur moi, me dire que tout ceci n'est qu'un cauchemar et que dans quelques heures le réveil va sonner et tout sera terminé j'irais au travail comme tout les matins, mais le pire dans l'histoire c'est que je suis bien éveillé, je suis aux enfers c'est bien la première fois que j'y viens, je m'en serais bien passé. Je n'ouvre pas les yeux tout le temps où Jared s'amuse avec sa râpe à fromage sur mon torse, je sentais mon sang chaud couler sur mon corps pour l'entendre tomber par terre goûte à goûte, je commence à ne plus trop faire attention à ce bruit puisqu'à mes oreilles résonnent les battements de mon coeur qui se font de plus en plus rapide. Je prie mentalement de tout mon coeur que tout ceci finisse le plus rapidement possible, je suis conscient que je ne sortirais pas d'ici vivant mais si je pouvais mourir en souffrant le moins possible ce serait bien. La sueur coule à grosse goutte sur mon front et sur le reste de mon corps, il fait vraiment une chaleur à crever ici. Les minutes à supporter ce calvaire me parurent être des heures et quand il eu finit son petit travail je ne m'aperçus pas de suite que c'était terminé enfin pour ça parce que j'imagine bien qu'il ne va pas me relâcher maintenant. J'avais presque envie de rire quand il se dit un artiste et que j'étais son objet et bien les nouveaux artistes sont vraiment taré, je le regardais dans les yeux après mettre aperçus que j'avais du sang sur le ventre il s'était amusé à dessiner un Toto il était vraiment gamin.

    Je me disais bien aussi que les artistes de nos jours sont vraiment taré, ta mère t'a bercé trop près du mur, on t'a fait tomber lorsque tu étais bébé ou il te manque la moitié du cerveau .... parce que là tu ressembles beaucoup à Dexter tu sais la série tu la regardes un peu trop je pense tu devrais essayer Hawaii five-0 c'est plus relaxant

    Je suis vraiment mal barré avec un fou pareil, je suis censé faire quoi me transformer en hulk et lui casser la figure manque de peau pour moi je n'ai pas ce pouvoir et je ne contrôle pas ceux que j'ai alors franchement je ne pense pas que les choses marchent en ma faveur quoique si j'essaie de faire exploser le poids qui est à mes pieds et qui tient cette foutue corde que j'ai autour du coup. Je peux le faire j'en suis sur il suffit juste que je vois le poids ce qui n'est pas aisé parce qu'il faut que je relève la tête et c'est assez dur. Il devait se demander ce que je pouvais bien faire, j'ai l'air d'un andouille mais normalement aussi j'ai une tête d'andouille, le truc ne bougea pas d'un pouce et merde il peut pas marcher quand on le veut non. Je fus déconcentrer lorsque je vis un truc brillant passer devant mes yeux, un couteau et Jared semblait en transe, je me dis qu'il allait m'égorger comme un vulgaire cochon mais non au lieu de cela il appuya fortement sur mon coeur, j'ouvris la bouche mais aucun son ne sortit, vu que je laissais mes jambes remonter je sentis la corde se serrer autour de mon cou, ma dernière heure venait de sonner. Je tentais de reprendre mes esprits et releva petit à petit le poids, je n'osais même pas regarder ses yeux de fou, combien j'avais mal il est vraiment fou pour vouloir savoir ce que ça fait d'être torturé par lui.

    Et je t'emmerde tu le mets sur quelle échelle



[non mais attend moi je suis hyper emballé par ce sujet, je suis pas du tout maso mais j'adore faire souffrir mes personnages, ma réponse fait rikiki par contre]
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MessageSujet: Re: Please don't kill me [PV Jared] Please don't kill me [PV Jared] Icon_minitime

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Please don't kill me [PV Jared]

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