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« Au café du coin, la mort passe aussi rapidement qu’un éclat de rire … » {Kendall Hamilton}

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« Au café du coin, la mort passe aussi rapidement qu’un éclat de rire … » {Kendall Hamilton} Vide
MessageSujet: « Au café du coin, la mort passe aussi rapidement qu’un éclat de rire … » {Kendall Hamilton} « Au café du coin, la mort passe aussi rapidement qu’un éclat de rire … » {Kendall Hamilton} Icon_minitimeMar 11 Jan - 22:58

    « Il y a forcément une solution … » Murmura Uriel pour lui-même.

    Installé dans une salle calme, bien qu’il s’agisse d’une chose rare, dans l’hôpital, le jeune homme de vingt-quatre ans, brillamment diplômé, faisait les cents pas, un dossier ouvert sur la table et des gribouillages plein le tableau autour duquel il tournait en rond. Tous ses sens en éveils, et particulièrement sa perception magique des atomes du monde, chose devenue quasi-naturelle pour l’aveugle qu’il était, il passait et repassait le problème dans sa tête. Ce patient n’était pas condamné. Même si tout semblait le faire croire.

    A l’hôpital, et dans le cadre de son travail de médecin, Uriel faisait comme s’il n’était qu’un humain comme tous les autres. La magie, autre la canne qu’était sa faculté de ressentir les molécules pour qu’il se dirige et se repère, il se l’interdisait. Toutefois, quand le temps, les moyens techniques ou financiers venaient à manquer, mais que le mal d’un patient était connu, il s’autorisait à répandre la rumeur d’un « miracle », qui n’était autre que son pouvoir de guérison, merci à son sang de fondateur. Cependant, cette quasi-enfreinte des règles de la magie était limitée : comme tout être de lumière, soigner les maladies était autre chose que de refermer une plaie. Il fallait connaître le mécanisme, le mal, et savoir comment, sans magie, il était soignable. Autrement, c’était courir vers une mort certaine … et vaine.

    Rien n’allait chez ce pauvre homme. Toutes les fonctions vitales étaient au plus bas. On l’avait mit dans son service parce que tous les organes avaient été analysés sans anomalies bien déterminées. Alors c’était la neuro, parce qu’il n’y avait « pas d’autres explications possibles ». Nombre de ses confrères se demandaient quand le patient serait passé du côté des « végétatifs ». Cela mettait facilement Uriel en rage.

    Uriel s’avança vers ce qu’il devinait être la table. Posant la main sur une surface lisse et froide qu’il savait être un scanner, il recueillit les informations pour « lire » le document. Une énième fois. De nouveau, il reparti dans une tourmente intellectuelle … et … si … ?

    « Uriel ! Qu’est-ce que tu fous ? Ton bipper est mort où quoi ? Y a ton patient qu’est en train de clamser, on ne sait plus quoi faire ! » s’exclama soudain un nouvel arrivant, sans doute interne en médecine.
    « Quoi ? »

    *

    Cela tournait à la chirurgie. Malgré les fonctions vitales alarmantes, l’équipe avait souhaité tenté une inspection « en direct » du cerveau. Malgré les abnégations d’Uriel. Son chef de service n’avait rien voulu entendre. Le protocole ? « Fermez les yeux, monsieur Prince … d’après ce qu’on dit, cela ne devrait pas être très complexe pour vous ! ». Attaque injustifiée. Comme d’habitude. Pas de réponse d’Uriel qui ne cherchait pas le conflit. Comme d’habitude.

    C’est sur ces paroles très célèbres et peu joyeuses de Claude François que le patient, Charles Hugston, identité que tous les autres préféraient remplacer par le cas N°1277NP, s’éteignit. Uriel, retenant sa rage qui flirtait avec sa peine, s’en alla en manquant de se prendre la porte. Personne n’y fit attention. Les sourires goguenards et la jalousie s’éteignent aussi en présence de la mort.

    *

    Assis à une table du café du coin, Uriel avait les yeux dans le vague. S’il avait su qu’il regardait par la fenêtre, une belle journée ensoleillée, cela ne lui aurait fait ni chaud ni froid. Il était déconnecté du monde. Comme à chaque fois qu’il rencontrait la mort. Il avait presque envie de boire pour oublier, mais il ne s’était jamais laissé tenté par une goutte d’alcool. Le service des addictions était assez effrayant à traverser pour avoir envie d’y rentrer par l’autre porte …

    « Monsieur, vous pensez que je vais rester là à vous tendre votre café pendant dix ans ? » S’emporta un serveur.
    « Oh, excusez-moi … » S’excusa Uriel. « Posez-le donc je vous prie … »

    Le serveur ne se fit pas prier et sembla repartir de sitôt. Uriel manqua de plonger son coude dans sa tasse brûlante, l’imminence de la chaleur le sauvant in-extremis. Journée pourrie
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MessageSujet: Re: « Au café du coin, la mort passe aussi rapidement qu’un éclat de rire … » {Kendall Hamilton} « Au café du coin, la mort passe aussi rapidement qu’un éclat de rire … » {Kendall Hamilton} Icon_minitimeMer 19 Jan - 11:50

    « Docteur Hamilton, on vous demande au service pédiatrie, c’est une urgence »
    Kendall n’avait jamais été vraiment emballée par la pédiatrie. Tout ce qui touchait aux enfants lui faisait trop mal. Comme si le fait que cela soit des enfants rendait les choses encore plus graves. Elle avait beaucoup de mal à voir un enfant souffrir, et son instinct de médecin n’était pas assez fort pour lui permettre d’intégrer ce service. En effet, elle voulait les aider plus que tout, mais chaque échec était deux fois plus horrible que pour un adulte. Kendall se leva en hâte et suivi l’interne qui la guidait dans les couloirs. Elle arriva dans une salle où bon nombre de ses collègues s’affairaient déjà. Elle écouta le résumé que l’on lui faisait et elle devait assister le chirurgien dans cette opération. Kendall respira un bon coup et fila en direction du bloc après s’être procuré des gants et un masque.

    Quelques minutes plus tard :
    « Bon boulot Docteur ! » Kendall félicitait le chirurgien qui venait de sauver la vie de ce petit garçon que Kendall regardait maintenant avec tendresse. Elle inclina la tête en signe d’au revoir et sortit du bloc. Dehors, elle prit le temps d’enlever gants, combinaison et masque. Le chirurgien sortit derrière elle.
    « Kendall prenait une pause… Vous l’avez bien méritée » Kendal sourit à chirurgien et entreprit d’écouter ce qu’il venait de lui dire. Elle se passa une main dans les cheveux et pris quelques minutes pour expliquer aux infirmières ce qu’il fallait faire ensuite avec le petit garçon. Elle se dirigea ensuite vers son bureau pour faire une pause. Les couloirs étaient comme tout ceux d’hôpital, blancs, et l’air sentait le désinfectant. Après avoir marché quelques minutes, Kendall entra enfin dans son bureau. Elle n’avait pas encore fermé la porte qu’un interne entra avec un sourire en coin. Il lui tendit un dossier :
    « Le cas n°1277NP vient de décéder. Voici le rapport sur l’interne Prince. Vous devriez le lire. »
    Kendall regarda froidement l’interne qui souriait maintenant de façon charmeuse comme si elle pouvait être intéressée.
    « Vous devez sûrement parler de Mr Charles Hugston, du service de neurologie ! Et qui a écrit ce rapport ? »
    L’interne s’approcha un peu toujours avec ce regard dragueur qui excédait encore plus Kendall au bureau que dans la rue. Elle garda son calme cependant :
    « C’est le médecin qui était présent pendant l’opération, il a écouté nos impressions entre autres »
    Kendall attrapa violement le dossier et fit signe à l’interne de sortir. Ce dernier sortit sans demander son reste. Et voilà que çà recommençait ! Prince allait encore avoir des problèmes semblerait-il ! Kendall s’était arrangée pour être la personne par qui passent les dossiers de neurologie ce qui évitait de nombreux désagréments mais un comme cela, elle allait avoir du mal à l’étouffer sans aide. Comment un médecin peut couvrir un interne de cette façon me dîtes vous ? Et bien, il faut savoir que Kendall est l’une des seules personnes à savoir à quoi s’en tenir sur Uriel. En effet, personne ne sait qu’il non-voyant mais grâce à la télépathie, la jolie médecin avait apprit cela quelques mois plus tôt. Elle l’avait surveillé pendant plus de deux mois et rien ne s’était passé qui puisse paraître dérangeant ou quoi que ce soit. En bref, Kendall en était arrivé à la conclusion qu’Uriel n’avait pas d’handicap pour la pratique de la médecine. De plus, elle respectait et admirait son choix, c’est pourquoi elle avait décidé d’être de son coté et appuyait toujours son cas lorsque les gens disaient qu’il n’y voyait rien.

    Kendall se plaça à son bureau et parcouru le dossier. Les témoignages étaient écrasants. Cette fois, çà n’allait pas être simple. Kendall embarqua le dossier et fila en direction du service de neurologie. Elle demanda où était Uriel et on lui indiqua le café de l’hôpital. Kendall se pressa vers ce café et quand elle arriva devant la porte, elle chercha Uriel du regard. Elle le vit assis à une table dans le fond. Elle entra dans le café et s’approcha de sa table prenant bien soin de faire claquer ses talons sur le dallage du café. Arrivée près de lui, elle ne s’assis pas de suite et demanda :
    « Bonjour, Uriel, je suis le Docteur Kendall Hamilton, tu te souviens de moi ?Je peux m’asseoir avec toi j’ai quelque chose dont il faut que l’on discute ? » sa voix était douce et la plus calme possible.



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MessageSujet: Re: « Au café du coin, la mort passe aussi rapidement qu’un éclat de rire … » {Kendall Hamilton} « Au café du coin, la mort passe aussi rapidement qu’un éclat de rire … » {Kendall Hamilton} Icon_minitimeJeu 20 Jan - 20:14

    Il y avait quelques personnes ce jour là. Ce petit café était, en général, pas mal fréquenté par quelques membres du personnels de l’établissement dans lequel Uriel travaillait. Plus que d’autres médecins qui s’arrangeaient bien pour lui refiler leur consultations à grands renforts de « Oh Uriel tu tombes bien, j’ai un gros soucis … Merci Uriel, vraiment, t’es un mec bien ! ». Et plus tard, ces derniers étaient les premiers à murmurer dans son dos. L’univers de la médecine hospitalière était parfois très dur. Uriel revint aux bruit des conversations qui l’entourait.

    Glissant sa main sur la table plastifiée qu’il sentait encore humide d’un lavage rapide avant son arrivée, il s’empara d’un geste presque naturel de la tasse de café qui l’attendait sagement, toujours aussi brûlante. Il laissa un instant la chaleur s’engouffrer dans sa paume et ses doigts. Il n’avait pas vraiment soif en réalité. Désormais que la pression était légèrement retombée, et malgré son état assez triste, comme à chaque fois qu’il vivait la mort de si près, il pensait connaître les raisons de la pathologie du malade. Ce pauvre Charles … Il se souvenait être souvent aller le voir à son chevet pour s’enquérir de son état …

    Une larme faillit naître dans ses yeux au souvenir de ces jours où il avait encore la possibilité de secourir cet homme qui s’était tellement battu et pendant de si long mois. Mais au loin, il entendit des bruit de pas qui semblaient se rapprocher dans sa direction. Par une petite fierté transmise de génération en génération comme quoi « les vrais hommes ne pleurent pas », Uriel se rattrapa et sa main se crispa autour de sa tasse. Des talons. C’était une femme. Elle venait de s’installer à sa table.

    Uriel respira un délicat parfum. Il chercha dans les méandres de sa mémoire et se souvint d’avoir respiré cette odeur agréable plus d’une fois à l’hôpital. Il avait donc affaire à un membre du personnel. Un sourire de politesse s’afficha sur son visage à l’égard de la femme qui le rejoignait. Il se servit de son pouvoir pour analyser la structure moléculaire des cheveux de la femme qui, selon les phéromones qu’elle émettait, était probablement jeune. Blonde. Un objet partiellement métallique autour du coup. Une médecin. Il la reconnu à l’instant où elle se présenta.

    Elle avait une voix douce, calme et posée. Mais quelque chose laissait présager qu’elle n’était pas là pour de bonnes nouvelles. C’était probablement une affaire sérieuse qui l’amenait. Cela se sentait dans sa façon d’agir. Etrangement, Kendall, les quelques fois où il lui avait déjà adressé la parole, lui avait toujours donné l’impression d’en savoir un peu plus sur lui qu’il ne le croyait. C’était parfois un peu inquiétant. On dirait qu’elle sait … songea-t-il.

    « Bonjour docteur Hamilton. Je ne vous ai pas oubliée, votre réputation vous précède. Belle intervention chirurgicale ce matin ! Les rumeurs diffusent déjà votre formidable compétence. Votre assistance a été d’un grand recours et d’une excellente efficacité dit-on. Que me vaut l’honneur de votre visite ? » Répondit aimablement Uriel en élargissant légèrement son sourire.

    Donner beaucoup de détails pouvait permettre, d’après la programmation neuro-linguistique, de s’affirmer dans une conversation. Au risque encouru de passer pour quelqu’un de peu sûr de soi si on se perdait dans les précisions. Parler d’un ton posé et à bas débit évitait cela. Le vouvoiement était une manière comme une autre de montrer le respect qu’il avait pour ses collègues, surtout quand il estimait ne pas très bien les connaître. Il avait aussi une fonction de mise à l’écart, comme une sorte de pudeur pour protéger son secret d’infirmité. Enfin, louer son interlocuteur permettait de démarrer la conversation, aussi difficile soit-elle, sur une bonne base de cordialité. Oui, Uriel songeait à tout cela quand il interagissait avec les autres.
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MessageSujet: Re: « Au café du coin, la mort passe aussi rapidement qu’un éclat de rire … » {Kendall Hamilton} « Au café du coin, la mort passe aussi rapidement qu’un éclat de rire … » {Kendall Hamilton} Icon_minitimeJeu 20 Jan - 21:46

    Kendall regarda son visage plus en détails et remarqua qu’il semblait triste. Elle avait beau savoir pourquoi cela ne la réconfortait pas. Le visage d’Uriel se crispa légèrement quand il se rendit compte qu’elle ne venait pas là pour de bonnes nouvelles. Elle essaya de paraître détendue et de ne pas l’inquiéter. Elle s’assit doucement et croisa les jambes. Elle allait lui parler quand il entama la conversation :
    « Bonjour docteur Hamilton. Je ne vous ai pas oubliée, votre réputation vous précède. Belle intervention chirurgicale ce matin ! Les rumeurs diffusent déjà votre formidable compétence. Votre assistance a été d’un grand recours et d’une excellente efficacité dit-on. Que me vaut l’honneur de votre visite ? »
    La jolie médecin eu un sourire et rougis légèrement. Elle n’était pas habituée aux compliments désintéressés, souvent c’était juste pour obtenir quelque chose d’elle ce qui la mettait hors d’elle. Kendall posa le dossier sur la table et quand elle voulut parler, le serveur l’interpella. Elle commanda un thé et reposa les yeux sur Uriel. Quelque chose était tendue en lui. Kendall voulait lui dire qu’elle savait mais elle ne voulait pas qu’il pense qu’elle était une fouineuse et lui en veuille par la suite. Aussi surprenant que cela puisse paraître, Kendall avait de la sympathie pour cet interne qu’elle n’avait pas vu tant de fois que cela.
    « Merci Uriel ! Mais tout le mérite reviens au chirurgien, je n’ai fait que l’assister. Je suis venue te parler de Mr Hugston »
    Elle baissa la voix et marqua une légère pause. « J’ai été désolée d’apprendre ce qui est arrivé ce matin. C’était un de tes patients si je ne me trompe pas ? »
    Kendal regarda son interlocuteur. Le jeune interne était quelqu’un pour qui elle avait de l’admiration. Tenir un secret si grand sans rien laisser paraître et subir toutes ces railleries, Kendall lui tirait son chapeau. La jeune médecin se passa une main dans les cheveux et ouvrit le dossier.
    « J’ai, ici, le rapport sur ce qu’il s’est passé ce matin. Les internes ont assisté le docteur dans la rédaction et il n’est pas très bon pour toi. Cela fait plusieurs dossiers que je reçois comme celui-ci. A chaque fois, il est question de la qualité de ta vision. Je voudrais entendre ta version là-dessus. »
    Kendall était du genre à laisser aux gens une chance de s’en sortir. Dans ce cas présent, elle n’allait pas couler Ethan donc la chance n’était pas d’étouffer l’affaire mais de lui donner une chance de lui avouer tout maintenant. S’il lui disait la vérité, ils pourraient en parler et elle pourrait trouver comment l’aider. Dans le cas contraire, elle ne pourrait qu’agir dans l’ombre mais elle serait, du coup, nettement moins efficace. La médecin voulait vraiment que les choses changent pour cet interne qui manifestement avait beaucoup de potentiel. Elle avait pensé à le faire transférer dans son service mais cela ne résoudrait pas les problèmes. On saurait bien vite que Kendall couvrirait Uriel et tout serait perdu.
    Kendall avait décidé de tout faire pour le pousser à la confidence et pour le mettre en confiance. Pour l’instant, elle ne faisait que tâter le terrain, ensuite, elle essaierait de le mettre en confiance. Kendall était prête à utiliser sa télépathie pour le mettre au courant mais elle espérait ne pas avoir à en arriver là. Uriel semblait un peu désarçonné, il fallait qu’il trouve quelque chose de cohérent à lui répondre ou simplement la vérité mais elle savait pertinemment qu’à ce stade de la conversation, il était peu probable qu’il passe aux confidences. C’était pourtant là, l’espoir que nourrissait Kendall intérieurement. Etre médecin c’était aidé les autres même les autres médecins…


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MessageSujet: Re: « Au café du coin, la mort passe aussi rapidement qu’un éclat de rire … » {Kendall Hamilton} « Au café du coin, la mort passe aussi rapidement qu’un éclat de rire … » {Kendall Hamilton} Icon_minitimeDim 15 Mai - 14:14

Fermé car un des participants à été supprimé
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MessageSujet: Re: « Au café du coin, la mort passe aussi rapidement qu’un éclat de rire … » {Kendall Hamilton} « Au café du coin, la mort passe aussi rapidement qu’un éclat de rire … » {Kendall Hamilton} Icon_minitime

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